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  • Hira gasy

    La tradition très vivace du Hira gasy à Madagascar ou comment l'opéra populaire met en scène les problèmes familiaux ou sociétaux pour tenter de les résoudre.

    A découvrir ici.

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  • Keep calm and drive slowly...

    Le défi du jour : transporter 450 oeufs dans les embouteillages sans faire d'omelette avant le petit-déjeuner qui sera offert aux enfants malnutris de moins de 5 ans. Et c'est un défi réussiiiii !

    J'ai aussi acheté 450 briques pour la réfection des latrines mais le transport était plus simple... Un défi à la fois, c'est la règle ! 

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  • Un café, s'il vous plaît !

    Amateurs de bon café, Madagascar saura ravir vos papilles ! 
    Il existe un production de café Arabica très savoureux, cultivé sur les Hauts Plateaux à 1800m d'altitude, en petites quantités, denrée rare et donc très recherchée...

    Il fait la fierté des habitants des Hauts Plateaux qui le savourent dans la rue entre amis dans de petites tasses en acier émaillé. Il vous en coûtera 200 ariary (5 centimes d'€) pour une demie tasse auprès du vendeur de "café debout". Et le sourire est toujours compris !

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  • Essentiel

    Au-delà de la prise en charge des soins médicaux gratuits de 30 000 patients, l'éducation sanitaire de 5 000 enfants, le forage de puits à eau, nous avons distribué en décembre plusieurs tonnes de riz aux enfants malnutris à Antananarivo...

    MERCI à toutes les entreprises qui nous ont fait confiance pour organiser leur team building cette année ! 
    10 tonnes de riz ont été distribuées de leur part depuis une semaine aux enfants des hauts plateaux malgaches !

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  • Pas à pas...

    Les enfants hospitalisés sur les 3 étages du service pédiatrique de Befelatanana le sont toujours dans un état très sérieux qu'ils soient grands prématurés, gravement malnutris, atteints d'un cancer, d'encéphalite, de maladies virales... et pourtant l'état des installations, des chambres, des lits, des équipements médicaux n'est pas adapté à l'accueil de tels cas graves.
    A la vétusté et au manque d'équipements, s'ajoute le manque d'hygiène général. Pour décrire de manière "soft" la réalité, en journée on doit constamment éloigner les mouches des enfants et le soir même chose avec les moustiques. Les chambres ne sont pas éclairées, il n'y a pas de douches, les sanitaires à l'extrémité de l'étage sont totalement insalubres. Impossible ou impensable, les deux à la fois, chaque geste d'une mère vers son enfant est une nouvelle transmission de microbes, on ne peut vraiment pas laisser la situation perdurer !

    En pratique, durant l'hospitalisation des enfants qui sont souvent très jeunes, voire bébés, toutes les mamans restent 24h sur 24 dans la chambre-dortoir qui comprend 8 lits, ne sont pas ou peu relayées par un autre membre de la famille, et dorment dans le même lit que leur enfant. Ces chambres-dortoirs sont occupées par les familles les plus pauvres, tandis que 4 "salles payantes" -ne comprenant que 2 lits chacune- sont utilisées par les familles qui ont les moyens financiers de les occuper. 

    Cette semaine, nous avons commencé par chercher un moyen de permettre aux mamans de se doucher chaque jour, en attendant d'avoir des douches construites à l'étage. La solution transitoire est que nous financions au quotidien l'accès à des douches publiques situées non loin de l'hôpital, 500 Ariary/douche (environ 12 centimes d'€), les mamans ont accès à l'eau chaude, peuvent se changer, si elles n'ont pas de tenue de rechange, nous avons acheté des vêtements en gros au marché qu'elles peuvent prendre pour elles et leurs enfants. 

    Il ne nous manquait plus que des produits d'hygiène antibactériens et d'apprendre aux parents à les utiliser régulièrement. Chaque chambre-dortoir a reçu ses produits et une maman dans chaque chambre est responsable de les garder et de les transmettre à une autre lorsque l'hospitalisation de son enfant prend fin, Rien n'est évident dans cette démarche qui pourrait paraître très simple, parce que les gestes les plus basiques, les recommandations les plus pratiques sont à acquérir pour une population qui n'y a quasiment jamais accès, faute de transmission ou d'accès à l'éducation. Mais les familles sont très attentives et réceptives à toutes nos explications/démonstrations par rapport à la protection de leurs enfants, et avec beaucoup de patience et de persévérance, nous voyons les choses évoluer dans le bon sens... Quand j'ai constaté que le niveau du gel douche avait enfin baissé sur la table de chevet, trois jours après les premières démonstrations, j'étais très fière du pas fait par les familles et très heureuse pour elles 

    MERCI infiniment à Nuhanciam de son soutien et d'avoir généreusement offert les gels douche nécessaires à tout le service pédiatrique de l'hôpital Befelatanana !

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