Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Pokanel - Page 15

  • 400

    Nous avons dépassé ce mois-ci le cap de la 400ème référence de médicaments que nous sommes à présent capables de fournir gratuitement aux patients bénéficiaires des programmes de soins de Pokanel à Madagascar !
    C'est le fruit d'une longue et patiente démarche de partenariats auprès de grandes pharmacies parisiennes qui aujourd'hui nous soutiennent et également de votre attention à nous mettre de côté vos fins de traitements antibiotiques, antalgiques ou anti-inflammatoires non périmés, de tous ces ruisseaux qui font de très grandes rivières...

    M1.jpgM2.jpgM3.jpg

    M4.jpg

    (Rangement de la Pharmacie du dispensaire par Rajoelina en novembre 2016)

     

    MERCI à tous de votre confiance qui nous honore et de votre attention qui sauve des vies, pas moins.
    Nous gérons au mieux vos médicaments avec cette petite méthode brevetée...

    M6.jpg

    M7.jpg

    Pour distribuer au plus grand nombre vos médicaments, nous donnons aux patients du dispensaire le nombre exact de gélules nécessaire au traitement prescrit. Et nous écrivons au marqueur la posologie sur la plaquette. 2-0-2, 2 le matin, 0 le midi, 2 le soir, le compte est bon et votre solidarité bénéficie ainsi à 30 000 patients par an, soignés gratuitement au sein de nos programmes de médecine générale et de dentisterie
    Tous les médicaments offerts cet après-midi par la Pharmacie Rambuteau vont suivre le même chemin et entameront bientôt leur seconde vie à Madagascar...

    M8.jpg

    N'hésitez surtout pas si vous avez des fins de traitements non périmés (pour adultes, enfants et nourrissons), à nous les envoyer à Pokanel 109 rue du Bac 75007 Paris, notre médecin à Paris saura les gérer et faire qu'ils soulagent d'autres patients à Madagascar après l'avoir fait pour vous et vos proches.

    MERCI MERCI #400

  • Les mots sages

    Il existe, à Madagascar, au moins autant de proverbes Ny Ohabolana que de situations... Et les conversations les plus quotidiennes en sont pavées comme de sages conseils naturellement offerts à l'auditoire.

    pokanel,proverbes malgaches,madagascar 

    "Tsy ny hosoran-tsakay no mangidy hoditra, ary tsy ny hosoran-tantely no mamy hoditra, fa ny atao no mahasoa sy maharatsy".

    "Ce n'est pas d'être frotté avec du piment qui vous fait sentir mauvais, et ce n'est pas d'être enduit de miel qui vous fait sentir bon, mais c'est ce qu'on fait qui rend bon ou mauvais".

     

    Un peu de sagesse malgache, simple et lumineuse.

  • A vous de jouer !

    C'est Noël avant l'heure chez Pokanel !


    Vous allez pouvoir gagner 3 beaux romans grâce aux Editions Denoël, enthousiaste soutien de Pokanel, toujours prêtes à faire plaisir et à gâter les lecteurs que vous êtes !

    15355643_10209609231220790_4956062991206614259_n.jpg

    Je mettrai en ligne une énigme le vendredi 16 décembre à 14h pour gagner un thriller japonais culte depuis 1948, "Irezumi" (le tatouage intégral par les yakuzas), enfin publié en France... Polar captivant et frissons garantis !

    Vous pourrez ensuite gagner le 30 décembre à 20h, "De beaux jours à venir", un roman familial intense et touchant, plein d'émotions... Âmes sensibles, ne pas s'abstenir.


    Et pour une rentrée colorée aux couleurs du Brésil, gagnez le 14 janvier à 18h, "Les mille talents d'Euridice Gusmao", seulement 2 jours après sa sortie ! Best-seller au Brésil, "l'histoire d'Euridice Gusmao, ça pourrait être la vôtre, ou la mienne. Celle de toutes les femmes à qui on explique qu'elles ne doivent pas trop penser. Et qui choisissent de faire autrement...". Que vivent nos milles talents ! 

    Un grand merci aux Editions Denoël pour ces 3 beaux cadeaux, chacun avec une identité forte.
    Que vous les gagniez grâce à Pokanel ou que vous les trouviez au pied du sapin ou à la rentrée de janvier, je sais que vous allez les aimer ! 

  • Le Secret des Templiers, votre prochaine chasse au trésor dans Paris !

    chasse au trésor, pokanel, madagascar

    "Sigillum Militum Christi", la bague de Jacques de Molay, dernier grand Maître des Templiers, portait le sceau des Chevaliers Templiers. 
    Seul sceau capable d'authentifier les nombreux documents émis par ces gardiens de l’Eglise et maîtres du cryptage, brouillant les pistes au fil des siècles et protégeant ainsi leur inestimable trésor...

    chasse au trésor,pokanel,madagascarArchéologues en posssession de la carte cryptée des Templiers, vous devrez retrouver le véritable sceau de Jacques de Molay, puis pour lire votre carte découvrir un décodeur constitué de 15 engrenages du XIIème siècle. 
    Chacun de ces engrenages comportant des lettres, des chiffres et des symboles. La bonne position de ces 15 pièces sur un axe vertical vous permettant de reconstituer un mot, sésame pour l’accès final au Trésor des Templiers. 

    chasse au trésor,pokanel,madagascar

    Caché dans un endroit tenu secret et seulement accessible grâce à votre sceau, votre carte décryptée, un manuscrit, des messages codés soigneusement gardés dans des endroits stratégiques...

    Au coeur de Paris, partez en équipe à la recherche des indices nécessaires à votre exploration, tentez de déchiffrer le secret des Templiers et retrouvez leur Trésor !

    chasse au trésor,pokanel,madagascarRendez-vous le 21 janvier 2017 pour une Chasse au Trésor palpitante et haute en couleurs à partir de 15h et durant 3h30 ! 

    Invitez vos amis via cette page FB et constituez votre équipe, vous pouvez bien sûr vous inscrire en solo, duo, trio... Nous vous proposerons des coéquipiers pour le jour J afin de former une équipe complète. L'événement est ouvert à 12 équipes de 8 à 10 participants, chaque équipe défendant la couleur de son ordre des Templiers.

    "Le Secret des Templiers" est organisé au profit de Pokanel et chaque inscription de 20€ financera les soins médicaux gratuits prodigués à 30 000 patients par an ainsi que la distribution de riz aux enfants malnutris d'Antananarivo. 

    chasse au trésor,pokanel,madagascar

    Merci de votre inscription de 20€ via Paypal sur le compte de Pokanel contact@pokanel.org ou par chèque à l'ordre de Pokanel adressé au 109 rue du Bac 75007 Paris. 

    Le 21 janvier, soyez prêts à l'exploit... C'est à vous de jouer, les amis !

  • Mahery

    LE négociateur du jour : Mahery, tout juste 3 ans...
    Je suis en train de servir du riz quand j'entends une voix d'enfant très assurée m'interpeller :
    - "Ohatrinona ny vary ?" (Combien coûte le riz ?)
    Je relève la tête pour découvrir un petit garçon qui s'est faufilé jusqu'à moi et qui me toise d'un air très sérieux.
    Je lui réponds en essayant d'être toute aussi sérieuse :
    - "50 Ariary tompoko !" (Le prix normal au kilo est 1500 Ariary)
    - "Lafo loatra izany !!" (C'est trop cher !)
    - "Tssssss attends un peu, je réfléchis... Tu es dur en affaires... OK, aujourd'hui je fais une exception, je te le vends 0 Ariary mais aujourd'hui seulement ! Si on est d'accord, serrons-nous la main"
    Et Mahery de me tendre sa main, tout heureux d'un deal très à son avantage !
    Mon businessman est resté impassible à côté de moi pour surveiller les 14 kapoka de riz que je versais dans le sac de sa maman... 

    M1.jpg

    M3.jpg

    Quand on a eu fini, je lui ai demandé de me suivre dans le bureau sans lui expliquer pourquoi.

    - "Avec le riz ?" me dit-il en fronçant les sourcils 
    - "Non, pas besoin, tu peux laisser le riz à maman..." 
    Après avoir fermé la porte du bureau, j'ai sorti un ours en peluche du placard. Visiblement, Mahery ignore complètement ce que c'est et reste immobile. Je dois lui expliquer que ça s'appelle un nounours et que les enfants le prennent dans leurs bras comme un ami, je lui montre que c'est tout doux à caresser, qu'on peut enlever son écharpe ou bien la lui remettre comme lui s'habille le matin. Mahery est tout songeur.
    - "Ohatrinona ity ?" (Ça coûte combien ?)
    - "C'est un cadeau pour toi, il est à toi maintenant, tu peux le garder et aller le montrer à maman..."

    Et là j'ai vu la magie opérer, le petit businessman serrer son nounours contre lui avec un air d'enfant. 
    Craquant ❤️ (mais dur en affaires !)

    M4.jpg

    M5.jpg

    M6.jpg

    M7.jpg

    M8.jpg

  • Grains de vie

    Plusieurs journées de distribution de riz ont eu lieu entre le 13 et le 23 novembre en faveur des familles ayant des enfants malnutris de moins de 5 ans. Avec chacune une histoire et des visages.

    Depuis 3 mois, ces familles sont enregistrées au fur et à mesure de leurs consultations médicales et des vaccinations des bébés. Chacune est inscrite dans un cahier avec son nom et son quartier de résidence, au jour de distribution convenu. Nous attribuons un ticket numéroté, d'une couleur dédiée à une date de distribution, collé à la fin du carnet de vaccinations des enfants. Sur présentation de ce carnet le jour J, je barre ce numéro et remets deux bons de riz équivalant à 4kg, chaque famille peut alors les échanger contre le riz lorsqu'elle en aura besoin.

    Offrir du riz est important. Le faire avec gentillesse est essentiel. J'essaie de ne trahir ni la chaleur humaine ni l'humour dont vous faites tous preuve en participant aux événementiels de Pokanel, de transmettre également l'esprit solidaire des sociétés qui nous soutiennent avec beaucoup de générosité, de prendre le temps de l'échange avec chacune des 250 mamans reçues chaque jour, parce que la gentillesse change toujours tout, que ce moment est une richesse pour nous et j'espère pour vous un peu aussi à travers ces photos...

    Un immense merci à tous les participants à nos événementiels sur le web et dans Paris, ainsi qu'aux Cosmétiques Nuhanciam et à la société Sodipro, qui ont offert une tonne de riz chacune, d'avoir permis la distribution de 5 tonnes de riz aux familles les plus démunies par Pokanel à Antananarivo !

    17.jpg1.jpg2.jpg3.jpg4.jpg5.jpg8.jpg10.jpg9.jpg12.jpg13.jpg14.jpg18.jpg19.jpg20.jpg21.jpg

  • Je te vois...

    Les yeux dans les yeux.
    Il y a des rencontres vraiment au sommet.

    Antananarivo - 15 novembre 2016

    14992066_10209374404150260_2145005292645357379_n.jpg

  • Ambohijatovo et le caillou magique

    Une chef d'entreprise et amie malgache me disait un jour que contrairement à une création d’entreprise où réussir s’impose puisque le cas échéant la sentence est sans appel, nous n’avions pas la même pression au sein de Pokanel car l’échec éventuel de nos projets n’aurait pas pour conséquence notre faillite...

    Certes. 

    Sauf que nous n’envisageons pas de retour possible à la case départ.

    Nous avons décidé que cela devait pouvoir marcher. Imaginer, proposer, distraire, étonner, faire découvrir, enthousiasmer à Paris… pour avancer, développer, construire, scolariser, soulager, soigner, sourire à Madagascar. C’est la seule manière dont on envisage l’avenir.
    Que nous voulons lumineuxPas moins.

    Non, évidemment, Pokanel ne ferait pas faillite, pas au sens financier du terme.

    Mais la faillite humaine serait réelle. Parce que "tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose...", autant de roses que Pokanel envoie à l'école, soigne, nourrit, éduque, distrait... et dont nous sommes responsables à présent. 

    pokanel,madagascar

    C'était un dimanche après-midi à Antananarivo...

    Le dimanche, il semble toujours souffler comme un vent de sérénité sur Tana la bouillonnante. Moins de circulation, moins d’agitation. 

    Au parc d’Ambohijatovo, cet après-midi-là je travaillais au milieu des rires des enfants. Les trois prochaines semaines allaient être intenses, ponctuées d’entretiens décisifs pour Pokanel, autant de rencontres à provoquer, de projets à monter, autant d’opportunités à saisir, d’essais à transformer et 2000 kilomètres de piste à parcourir.

    Assise dans l’herbe, j’observais aussi le manège des fillettes qui descendaient le toboggan en glissant accroupies sur les pieds pour ne pas abîmer leurs belles robes du dimanche. Depuis quelques minutes, je sentais un petit groupe d’enfants qui me dévisageait en se poussant du coude, avançant vers moi d’un mètre toutes les trente secondes. J’essayais de ne pas rire et de graver ce que je lisais dans mon cerveau. J’y étais presque arrivée quand je fus rejointe par la plus petite du groupe, sans doute aussi la plus téméraire. 

    De bonne grâce, Soa se présenta en sautillant sur place, elle aurait bientôt 4 ans, avait un frère « plus grand » et une poupée nommée Daisy. Elle avait aussi un petit caillou dans la poche qu’elle m’exhiba fièrement ; la pierre légèrement rosée faisait l’objet de convoitises au sein du groupe apparemment... parce qu’elle était « magique ». Ah… magique, comment ? Elle « donne tout ». Hum… 

    Soa va-t-elle à l’école ? Non. « Parce que c’est trop cher ». Rien dans son ton ne trahit l’amertume ou la tristesse. C’est trop cher et on doit l’accepter, alors elle accepte. Les enfants à Madagascar ressemblent à des enfants sans en être tout à fait. Des enveloppes d’enfants avec un sens aigu du devoir et des responsabilités. Très jeunes. Trop mais la vie l’impose. 

    J’avais moi aussi au fond de mon sac un objet magique. Je sortis ma caméra, pris une photo et retournai l’écran vers le groupe… Les enfants s’exclamèrent de surprise et de joie en se découvrant à l’image. Les prises se répétèrent encore et encore. Les cris de joie amusaient tous les parents aux environs. J’ignorais combien ils étaient à présent, cinq au départ, cinquante peut-être ensuite. Je proposai qu’on s’assoit un peu pour se reposer de la dynamique séance photos.

    Soa, à côté de moi, attrapa ma main et commenca à jouer avec mes doigts en les comptant, attendant que j’acquiesce après chaque chiffre, iray… roa… telo… efatra... dimy… Mais il me semblait qu’elle avait perdu un peu de son bel enthousiasme du début. Un peu déçue qu’on ne prenne plus de photos ? Non. Mais Soa trouvait ma caméra « plus magique » que sa pierre… Ah.

    Je n’avais malheureusement pas les moyens d’échanger ma caméra contre un caillou, fusse-t-il très très magique… Je redemandai à voir la pierre et la regardai de plus près. 

    -Je ne suis pas d’accord avec toi Soa, je trouve ta pierre beaucoup plus magique que ma caméra ! 

    -Non, elle ne donne rien ! 

    Je mis la pierre à mon oreille 

    -Si. Elle est plus magique parce qu’elle parle... 

    -Non, elle ne dit rien ! 

    -Chut, attends… 

    -Quoi ? 

    -Chut, je n’entends pas ce qu’elle dit… 

    -Qu’est-ce qu’elle dit ??? 

    -Elle dit… elle dit que tu iras à l’école en octobre.

  • Just do it

    Hier soir, quelqu'un me disait que "4kg de riz, ça ne change pas la vie". Peut-être pas à Paris effectivement...
    Et puis j'ai repensé à cette dame qui était venue accompagnée de sa petite fille à la dernière distribution de riz de Pokanel. Je lui avais demandé de quel quartier d'Antananarivo, elle venait...
    - "D'Ambohitrimanjaka"
    - "Mais ce n'est pas à Tana... C'est au moins à 10 kilomètres d'ici..."
    - "C'est rien. Pour le riz, je pouvais faire 100 km à pied, vous savez !"

    Non, je ne le savais pas. Je ne sais pas non plus si "4kg de riz, ça change la vie" ou pas, mais j'en ai quand même une petite idée... 
    #JustDoIt

    RIZ2.jpg

  • Echauffement

    Le Blind Test approche à grands pas chorégraphiés et notre préparation bat son plein...

    Constitution des playlists :

    playlist.jpgBriefing, chorégraphie et test des buzzers :

    buzzers.jpg

    Découpage des chansons :

    découpage.jpg

    Répétitions en costume :

    costumes.jpg

    Dernière réunion sur place avant le jour J :

    dalva.jpg

    Test des cocktails.... Don de soi, sens du sacrifice :

    cocktails.jpg

    Nous sommes prêtes et on a vraiment hâte de vous retrouver le 8 octobre !