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2. Nos actions - Page 12

  • Pause bien-être

    Un petit moment de bien-être inédit pour les familles des enfants hospitalisés aujourd'hui.

    Elles ont pu profiter d'une pause douceur avec les soins hydratants et réparateurs pour le corps, gentiment offerts à Pokanel par les Cosmétiques Nuhanciam. Aucune n'a d'habitude accès à ce type de produit de bien-être et j'étais ravie qu'au fil des explications, chacune se détende un peu et s'échappe pour quelques minutes du contexte éprouvant de l'hôpital. 

    Merci beaucoup à Muriel Berradia, créatrice des Cosmétiques Nuhanciam pour cette très gentille attention ! 

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  • Smiling colors

    La journée commence aujourd'hui par une jolie pause récréative (oui, je fais la pause AVANT le travail).

    Vous êtes plusieurs à me demander comment contribuer à égayer un peu les journées des enfants hospitalisés, c'est très simple : une pochette de feutres (extras pour les petits, de bonne qualité et lavables à l'eau) coûte 3,60€, je l'achète de votre part, j'écris votre prénom sur la pochette et j'offre votre cadeau à Annie, Lamia, Ernest, Larissa...

    Hop, petit miracle, journée plus souriante ! 

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  • Naissance de la pharmacie gratuite

    À Madagascar, il est souvent difficile de réaliser des projets qui vous tiennent à cœur, même si vous avez une envie très sincère d'entreprendre et de concrétiser votre idée, vous serez confronté(e) à la dure réalité du pays : le manque criant de moyens (techniques), la rareté des matériaux et du matériel, le moindre transport qui est toujours chronophage et se transforme souvent en problème logistique, un rythme d'exécution plutôt "tranquille" (qui peut me rendre dingue personnellement, j'assume ça), la notion de "cahier des charges" qui est quelque chose d'abstrait pour la majorité des artisans parce qu'ils sont habitués à considérer un objet par rapport au remplissage de sa fonction et non par rapport au respect de dimensions notamment.... et au moins 100 autres choses qui feront qu'entreprendre un projet va ressembler à un parcours d'obstacles aussi variés que riches... (je souris en écrivant "variés" et "riches", c'est de l'automédication, ceux qui connaissent la réalité de Madagascar, savent et rient déjà gentiment de mes futurs "soucis".

    Donc quand jeudi dernier devant le meuble à pharmacie chancelant de l'hôpital de Befelatanana, j'ai proposé de créer une vraie et grande pharmacie gratuite pour les familles les plus démunies, bien organisée pour faciliter l'accès aux médicaments et la gestion des stocks, j'ai bien vu les regards incrédules que tout le monde me lançait, incrédulité constante jusqu'à la réalisation finale aujourd'hui d'ailleurs.
    Donc il y a 7 jours, à part dans ma tête, cette belle pharmacie n'existait pas.
    Et pour qu'elle existe, maintenant que je me retourne sur ces 7 jours, je me dis "ANDRIAMANITRA !" / "OH MY GOD!" / "OH MAIS QUI A EU CETTE IDÉE AU LIEU D'ALLER SE PROMENER ?!?".

    Il a fallu trouver des planches de bois qui n'existaient nulle part, essuyer le refus de 5 ateliers de menuiserie d'en couper des rectilignes, encore moins d'avoir autre chose que des extrémités coupées grossièrement à la hache, au final entendre la scierie me proposer deux troncs d'arbres couchés au milieu des canards, rentrer sans rien au soir du jour 1, dépitée. 

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    Attaquer le jour 2 avec la volonté de trouver 78 mètres de planches avant le coucher du soleil, se lancer dans un périple en taxis à la recherche de différentes pistes, entendre toujours les mêmes refus, en avoir marre à 15h que rien n'avance et dire "Puisque c'est comme ça, ON SE LANCE ! J'investis dans ma propre menuiserie, j'achète tous les outils et on fera tout par nous-mêmes", ce "on" n'étant pas bien identifié au départ, j'avoue... Mais j'ai convaincu en quelques secondes, Natha et Ranto qui n'avaient jamais touché une scie et une règle à dévers de leur vie que ça allait être GÉNIAL et que l'aventure serait incroyable ! 
    À la fin du jour 2, on a 78 mètres de pin tout humide car fraîchement sorti de la forêt, brut et franchement moche, coupé à la hache, sur une charrette qu'on pousse sur 5km jusque dans la côte à 15% de Mahamasina à l'hôpital de Befelatanana, il fait 28 degrés, on a le bois, tous les outils et on va... décéder au bout du 3ème escalier à monter, sur notre tas de planches mouillées. Fin du jour 2, c'était une bien belle journée ! C.jpgD.jpg

    Jour 3 autrement baptisé "le jour le plus long de notre vie" puisqu'on a trié, mesuré, coupé, réalisé, poncé manuellement 178 pièces de bois brut jusque tard dans la nuit éclairés par la lumière de nos portables. Cette nuit-là, Tana a été traversée par 3 zombies qui ne parlaient plus d'épuisement et qui devaient se retrouver après 4h de sommeil pour aller visiter les enfants malades. 

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    Les jours suivants ont été une succession de tempêtes qui nous ont trempées, d'inondations du couloir qui nous servait de chantier, de découpes dans l'obscurité, de fatigue intense à tout faire manuellement à tel point qu'on ne peut plus tenir un tournevis sans grimacer de douleur et la tentation de baisser un peu notre (mon) niveau d'exigence et de se remotiver en ne se résignant pas à faire moins bien que le résultat visé malgré les difficultés. 

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    Ce soir, la pharmacie est bien là, elle EXISTE, tout est solide, droit, pérenne, exactement comme elle existerait à Paris, mais elle est à Madagascar avec ce petit parfum de victoire sur le "zéro moyen". Elle a carrément le goût du courage et de la persévérance, de l'envie de bien faire les choses et de la capacité à garder leur sens de l'humour des deux meilleurs apprentis menuisiers sur terre, Natha et Ranto, BRAVO à tous les deux et soyez très fiers de vous et de cette belle réalisation !

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    #makeithappen 

  • Conquête

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    Dans le système éducatif malgache, les EPP regroupent les enfants issus des familles les plus démunies.

    "Démunies" est le terme pudique qui n'exprime pas le fort taux d'évanouissement de ces enfants à l'école car ils y viennent le ventre vide. 

    Après avoir acheté une tonne de riz ce midi, 13 caisses de savons, autant de dentifrices et de brosses à dents, cet après-midi 350 enfants de l'EPP de Fiadanana à Antananarivo ont reçu un apprentissage sanitaire, une brosse à dents, un dentifrice, un savon et 2 à 3 kilos de riz en fonction de son âge. Ce sont des denrées de première nécessité. Elles sont vitales pour lutter contre les maladies infantiles qui sont fatales à un enfant sur deux de moins de 5 ans à Madagascar. Des infections qui se développent en l'absence d'apprentissage à l'hygiène.
    La denrée non officielle de première nécessité est la confiance en l'avenir de ces enfants. Si vous n'êtes pas sûr de pouvoir manger aujourd'hui mardi, vous imaginerez difficilement des projets au-delà de mercredi. C'est cruel mais bien réel. Il y a un broyage implacable de toute envie puisque l'envie est toujours le besoin. De se nourrir ou de ne pas tomber malade, faute de pouvoir se soigner.

    Mais quand un coup de pouce survient, aussi petit soit-il c'est une respiration. Et ces enfants le racontent bien mieux que je ne pourrais essayer de vous le dire. 
    Lorsque je leur avais demandé avant le forage et la construction du puits à eau à Ambodiafontsy, "ce qu'ils voudraient faire plus tard", ils étaient restés muets, "plus tard" était juste le jour suivant, aucun ne pouvait se projeter au-delà et imaginer une réponse.
    Après les 15 jours de travaux du puits dans la cour de l'EPP d'Ambodiafontsy qui enfin permettait aux familles du village d'accéder gratuitement à l'eau, un petit garçon m'a dit :
    -"Plus tard je voudrais conduire l'avion de Pokanel dans le ciel"
    -"Bien sûr, tu pourras piloter des avions si tu travailles très bien à l'école, mais pas l'avion de Pokanel parce qu'on n'en a pas"
    -"Mais on peut le construire... comme le puits !"
    -"C'est vrai..." 

    Regardez-bien cette petite fille qui part déterminée en emportant son riz, ses affaires de toilette et ses stylos. Elle s'appelle Seheno et part conquérir ses envies et le monde 

  • Un peu de douceur

    Ce soir, je fermais le local de la future pharmacie à clef, toute contente que cette longue journée pas simple mais super constructive se termine ! A 18h30, il fait déjà nuit à Tana, tout le monde est rentré chez soi, c'est tard par rapport au rythme de vie malgache qui débute très tôt le matin, souvent dès 5h avec le soleil. Bref, je vais me dépêcher de descendre les 3 étages du service pédiatrique et trouver un taxi à Mahamasina pour rentrer chez moi tout en haut d'Avaradrova, ce n'est pas tout près et les pentes très raides de la colline font peur aux chauffeurs dont les véhicules sont déjà bringuebalants... donc faut s'y reprendre à 4 ou 5 fois avant de trouver LE taxi qui ne flanchera pas dans la montée, hier soir j'ai dû finir le dernier kilomètre à pied.


    Donc cette chouette journée s'achève, je referme la grille intérieure qui protège les bureaux, salue une dame assise sur un banc avec son bébé et descends les escaliers, c'est fini ! 
    J'arrive au premier étage. Et je stoppe ma descente. J'ai fait semblant de ne pas voir quelque chose que j'ai vu. Parce que je suis contente de rentrer. Et que je reviens demain matin. 


    Bien sûr que j'ai vu cette dame toute seule au 3ème étage désert à cette heure, bien sûr que j'ai vu ses vêtements tout usés, et j'ai vu le visage rouge sang de son nourrisson complètement défiguré. 
    Je suis remontée. La dame n'avait pas bougé. Son bébé a 5 mois, elle s'appelle Anjara, elle souffre d'un hémangiome facial, son visage est comme dévoré par des veines apparentes et boursouflées, son oreille est nécrosée, la petite serre mon doigt et sourit comme si ce masque sur son visage n'existait pas. Terrible. J'essaie de faire bonne figure devant la maman et de parler normalement malgré ma gorge serrée. Elle m'explique qu'elle vient de Farafangana au Sud-Est de Madagascar, qu'elle et son mari sont des petits cultivateurs et qu'à un mois, Anjara est tombée malade. Qu'il a fallu tout quitter, laisser ses autres enfants pour venir à Tana et tenter de faire soigner Anjara à l'hôpital. Elle est là depuis deux semaines déjà, toute seule avec Anjara. Le traitement donne des premiers signes encourageants, elle s'accroche au millimètre de peau qui semble redevenir normal, elle s'accroche avec beaucoup de courage et de dignité. Elle me montre sa chambre au milieu de ce couloir immense, elle y est seule avec la petite, aux autres étages ce ne sont pas des chambres mais plutôt des mini dortoirs de 8 à 10 lits, les pleurs d'Anjara réveilleraient les autres enfants. Chambre 308. Deux petits lits avec des matelas mousse, c'est tout. Une idée précise du manque de tout, surtout de l'essentiel.


    Je n'ai pas de baguette magique, ce serait trop simple et il en faudrait des milliers. Mais je lui dis de ne pas s'inquiéter pour la nourriture, je lui donnerai les kilos de riz nécessaires le temps de l'hospitalisation d'Anjara, j'apporterai demain un doudou, ça rassurera peut-être un peu les angoisses du bébé, j'achèterai des couvertures s'il en faut, on fera de notre mieux pour adoucir un peu l'épreuve, deux minutes par ci, une minute par là... 
    Je suis rentrée et j'ai mis ce lapin en peluche dans mon sac pour demain.

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    Je ne sais plus qui d'entre-vous a eu la générosité et la gentillesse de l'offrir à Pokanel, Anne-Sophie, Virginie, Chrys, Catherine, Varda ou une autre personne tout aussi attentionnée, mais ce lapin comme chacun des 50 autres doudous que j'ai apportés va faire une très grande différence dans les bras d'Anjara et des enfants hospitalisés ici. C'est vraiment chic de votre part. D'y avoir pensé et de l'avoir offert.

    Merci ❤️

     

    Update de ce dimanche soir :
    Ce matin, Anjara a fait connaissance avec son lapin, l'adoption a été immédiate...

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  • La construction de la future pharmacie gratuite

    1er chantier à l'hôpital général Befelatanana à Antananarivo : créer une pharmacie entièrement gratuite pour l'accès aux soins des familles qui ne peuvent pas payer la quote-part minimum de 200 Ariary ( = 5 centimes d'euro ), elles sont plusieurs milliers chaque année à ne bénéficier d'aucun médicament faute de pouvoir les payer.

    Elles pourront dorénavant obtenir les médicaments via cette pharmacie au sein de l'hôpital. Reste à aménager le lieu bien sûr et pouvoir y gérer efficacement les stocks. Actuellement les étagères qui supportent les quelques médicaments de l'hôpital sont malheureusement à l'image du stock : inexistantes. 

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    Demain direction les grossistes de bois, l'achat du matériel et ce week-end construction de tous les rayonnages à l'hôpital avant de ranger les stocks et ouvrir la pharmacie la semaine prochaine.

    MERCI à toutes celles et ceux (pharmacies et particuliers) qui nous ont remis leurs médicaments non périmés, ils feront des miracles dès mercredi prochain ! 

  • Le duo gagnant

    Derniers préparatifs cette nuit des médicaments urgents pour le service pédiatrique de l'hôpital d'Antananarivo, MERCI à tous d'avoir pris le temps de nous envoyer vos fins de traitements non périmés ! 
    Nous avons glissé quelques journaux de Mickey dans l'envoi, ils font des miracles associés à l'amoxicilline... 
    ❤️

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  • Smiling

    Les sourires joyeux et en bonne santé de nos petits écoliers lors de la distribution de 5000 savons, brosses à dents et dentifrices !

    La prévention sanitaire est le premier moyen de lutter contre la majorité des maladies infantiles à Madagascar, et est à ce titre un de nos programmes récurrents.

    Par ici, les sourires... :)

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  • De jolis sourires en bonne santé

    Une nouvelle campagne de prévention sanitaire débute en cette fin d'année 2016 pour 5000 écoliers des hauts plateaux malgaches... Ce samedi matin, cela commence par la préparation d'autant de kits sanitaires (brosse + dentifrice +savon) que d'enfants, bienvenue dans les coulisses...

    Mon conseil tuto "brosses à dents" : quand vous devez dépelliculer des milliers de brosses à dents (pour ne pas polluer la nature avec tout ce plastique) et découper des milliers de savons, n'oubliez surtout pas votre playlist ! Cette activité ayant un haut pouvoir hypnotisant, il est possible qu'on vous retrouve figé(e) au même endroit le lendemain matin... 
    Merci à tous les Blind testeurs "Sapés comme jamais" d'avoir été au rendez-vous du 8 octobre, tous ces kits colorés sont les vôtres !

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    Le lundi à 7h, le soleil est déjà haut pour cette première journée... J'ai ma feuille de route du jour avec les 4 premières écoles primaires (de la Maternelle à la 7ème), toutes situées dans des quartiers défavorisés d'Antananarivo, il n'y a plus qu'à se brosser 895 fois les dents, c'est parti !

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    Les classes de Maternelle et de 11ème sont prêtes pour l'apprentissage sanitaire, brossage des dents et lavage des mains au programme, premier rempart aux principales maladies infectieuses à Madagascar, à la malnutrition, à l'absentéisme scolaire et aux sourires malheureusement édentés. 

    Les enfants, toujours aussi attentifs, sont appliqués et enthousiastes à l'apprentissage...

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    "Manoa ahoana tompoko", les tout petits miment le Directeur de l'école qui me salue et viennent me serrer la main, le taux d'enfants adorables avoisine les 1000%...

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    Après la démonstration par groupe de 10 enfants, c'est l'heure de la pratique pour chacun(e). Les plus petits découvrent la brosse à dents et le dentifrice pour la première fois, le geste est à apprendre, à répéter, à corriger jusqu'à ce que tous le maîtrisent et en sourient...

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    Les manches se relèvent, le savon mousse sous des regards attentifs et des gestes toujours aussi appliqués, l'ambiance est joyeuse, les mains n'ont plus qu'à sécher en l'air au rythme d'une petite chanson malgache que les enfants entonnent...

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    Les "grands" ne sont pas en reste...

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    En 5 ans, nous avons divisé par 3 le nombre de caries dentaires soignées chez les 5000 enfants de 3 à 10 ans suivis par notre programme de prévention, c'est une réussite qu'il faut conquérir encore et encore, à chaque rentrée, pour chaque enfant, MERCI à vous tous qui nous y aidez !

    Les enfants vous adressent leurs plus jolis sourires de remerciements pour tous les savons, brosses à dents et dentifrices offerts grâce à votre belle énergie et votre envie de venir vous amuser avec nous à Paris ! Ainsi que nos remerciements bien sûr, Anita et moi ne nous résignons pas à vous entendre chanter faux au Blind test, on va poursuivre avec une soirée "Sapés comme jamais II - LA REVANCHE" très bientôt ! ;)

  • 400

    Nous avons dépassé ce mois-ci le cap de la 400ème référence de médicaments que nous sommes à présent capables de fournir gratuitement aux patients bénéficiaires des programmes de soins de Pokanel à Madagascar !
    C'est le fruit d'une longue et patiente démarche de partenariats auprès de grandes pharmacies parisiennes qui aujourd'hui nous soutiennent et également de votre attention à nous mettre de côté vos fins de traitements antibiotiques, antalgiques ou anti-inflammatoires non périmés, de tous ces ruisseaux qui font de très grandes rivières...

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    (Rangement de la Pharmacie du dispensaire par Rajoelina en novembre 2016)

     

    MERCI à tous de votre confiance qui nous honore et de votre attention qui sauve des vies, pas moins.
    Nous gérons au mieux vos médicaments avec cette petite méthode brevetée...

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    Pour distribuer au plus grand nombre vos médicaments, nous donnons aux patients du dispensaire le nombre exact de gélules nécessaire au traitement prescrit. Et nous écrivons au marqueur la posologie sur la plaquette. 2-0-2, 2 le matin, 0 le midi, 2 le soir, le compte est bon et votre solidarité bénéficie ainsi à 30 000 patients par an, soignés gratuitement au sein de nos programmes de médecine générale et de dentisterie
    Tous les médicaments offerts cet après-midi par la Pharmacie Rambuteau vont suivre le même chemin et entameront bientôt leur seconde vie à Madagascar...

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    N'hésitez surtout pas si vous avez des fins de traitements non périmés (pour adultes, enfants et nourrissons), à nous les envoyer à Pokanel 109 rue du Bac 75007 Paris, notre médecin à Paris saura les gérer et faire qu'ils soulagent d'autres patients à Madagascar après l'avoir fait pour vous et vos proches.

    MERCI MERCI #400