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pokanel - Page 11

  • Comment survivre à une Freak Night ?

    Le 31 octobre s'approchant inexorablement, quelques conseils de survie nocturne dans Paris s'imposent...

    Le chemin de la Freak Night peut être pavé d'embûches...

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    Ou se retrécir sensiblement parfois...

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    Il vous faudra absolument être munis d'une lampe frontale parce qu'en bien des circonstances vous aurez besoin de lumière ET de vos deux mains... 

    Pour affronter le froid polaire, une tenue chaude est requise, oubliez vite tout vêtement fashion à résistance inférieure à 2°C...

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    Un plan de Paris complètera avantageusement votre panoplie ainsi qu'une gourde de mojito en soutien psychologique.

    Ces conseils ont été testés et approuvés lors des repérages de la Freak Night et aucun animal n'a été maltraité...

  • Un thé ?

    Madagascar recèle des trésors bien connus et de grande qualité comme ses productions de vanille, de rhum ou de clous de girofle, mais aussi un thé d’une grande finesse qui s’exporte vers les plus importantes bourses aux thés du monde.

     

    Le village de Sahambavy, traduisez le « champ des femmes », est entouré de champs de thé d’un vert tendre et lumineux à perte de vue.

     

    Née en 1970 de la transplantation de boutures du Kenya, cette unique plantation de thé à Madagascar s’étale aujourd’hui sur 336 hectares perchés à 1250 m d’altitude.

     

    Partout dans les champs s’activent les 130 paysans du village, renforcés par 500 employés saisonniers de novembre à avril, pour cueillir avec soin et à la main les précieuses feuilles de thé dont il faudra récolter 5 tonnes pour produire 1 tonne de thé prêt à être consommé.

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    Deux catégories de thés sont cultivées à Sahambavy : le thé noir (depuis la création de la plantation) et le thé vert (depuis deux ans seulement). La production totale annuelle est de 400 et 500 tonnes. 80% sont exportés vers le marché international de thé à Mombasa au Kenya, une des plus fameuses bourses aux thés du monde. Les 20% restants sont conditionnés et vendus sur le marché local par la société TAF.

     

    Pour le futur, l’accent est mis sur le développement du thé vert, actuellement très demandé sur les marchés occidentaux, ainsi que sur un projet de thé bio.

     

    En attendant de découvrir un jour les collines verdoyantes de Sahambavy par vous-même, vous aurez l’occasion de remporter et d’apprécier ce délicieux thé lors des événements de Pokanel !

  • Adolfo Kaminsky, une vie de faussaire

    « Rester éveillé. Le plus longtemps possible. Lutter contre le sommeil. Le calcul est simple. En une heure, je fabrique trente faux papiers. Si je dors une heure, trente personnes mourront... »

    Quand, à 17 ans, Adolfo Kaminsky devient l’expert en faux papiers de la Résistance à Paris, il ne sait pas encore qu’il est pris dans un engrenage infernal, dans une course contre la montre, contre la mort, où chaque minute a la valeur d’une vie. Durant trente ans, il exécutera ce méticuleux travail de faussaire pour de nombreuses causes, mais jamais pour son propre intérêt. 

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    À travers son destin romanesque, et sous la plume de sa fille Sarah, on plonge au cœur d’une histoire de clandestinité, d’engagement, de traque et de peur.
     
    En arrière-plan du récit de sa vie se dessine le spectre d’un siècle où s’affrontent sans merci pouvoirs politiques, haines raciales, idéologies et luttes des peuples pour leur liberté et la dignité humaine. La Résistance, l’émigration clandestine des rescapés des camps avant la création d’Israël, le soutien au FLN, les luttes révolutionnaires d’Amérique du Sud, les guerres de décolonisation d’Afrique, l’opposition aux dictateurs d’Espagne, du Portugal et de Grèce, sont autant de combats pour lesquels il s’est engagé, au risque de sa vie et au prix de nombreux sacrifices.
     
    S’il a rejoint des causes en apparence contradictoires, Adolfo Kaminsky est toujours resté fidèle à ses convictions humanistes, à sa volonté de bâtir un monde de justice et de liberté.
     

    Les éditions Calmann-Lévy ont la gentillesse de vous offrir aujourd'hui "Adolfo Kaminsky, une vie de faussaire" de Sarah Kaminsky.

    La première personne à donner la bonne réponse à cette énigme dans les commentaires recevra un exemplaire du livre at home !

     

    «D'où qu'il vienne et victorieux parmi ses pairs,

    il a donné au nombre des mercenaires,

    une nouvelle figure aux époques traversées,

    reléguant au passé Clovis et ses sujets »

     

    De qui s'agit-il ?

     

    A vous de jouer !

  • My dentist is not rich

    Ambodiafontsy, le 25 septembre 2009.

    C'est l'heure d'apprendre à se brosser les dents...

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     Pour des petits spectateurs très attentifs...

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    Il faut multiplier les démonstrations afin que chacun se brosse soigneusement les dents...

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    Répéter les gestes et les explications pour qu'à la fin de la matinée, plus de 500 enfants apprivoisent cette future habitude.

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    Ravis de reçevoir leurs brosses à dents et dentifrices, tous affichent déjà de bien jolis sourires...

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  • A Beyrouth ou Paris, soyez au rendez-vous des Pintades !

    Symbole de la femme moderne, sérieuse et frivole à la fois, LA Pintade n’est ni une poule ni une dinde. Après New York, Paris et Téhéran, on la retrouve aujourd'hui à Beyrouth, dans une ville sous tension qui risque de déraper à tout moment et où être une pintade est une déclaration de guerre à la guerre.

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    Muriel Rozelier nous fait découvrir avec un humour féroce et tendre les coulisses d’une basse-cour complexe qui ne s’en laisse pas conter. "Une vie de Pintade à Beyrouth" est une étude de mœurs, une galerie de portraits, une mine de conseils et de bonnes adresses. Une boussole pour naviguer dans la capitale libanaise, bref, l’ethnoguide indispensable, à lire d’urgence, même si votre voyage n’est pas pour tout de suite !

     

    Le pitch... À Beyrouth, les pintades ont du vent dans les voiles, des talons à flanquer le vertige à l’aiguille du Midi, des griffes manucurées en toute saison. Ici, être belle est un devoir. Jonglant habilement entre toutes les influences culturelles, elles chérissent leurs mezzés autant que leurs smoothies.


    Et quand elles ont fini de se demander qui elles sont exactement (chiites ou maronites, de la montagne ou de la plaine, du Nord ou du Sud), elles se retrouvent sur la Corniche, sur le front de mer, pour voir autant que pour être vues. Émancipées et pleines de tabous, féminines et militantes, superficielles et courageuses, les habitantes de Beyrouth sont pétries de contradictions.

     
    Femmes soumises, les Libanaises ? Vous repasserez. Les Pintades du Levant vont vous ébouriffer les plumes. Et vous pourriez même décider d’en prendre de la graine (de boulgour).

     

    En attendant de poster vos cartes de Beyrouth, profitez des e-cards (gratuites) à envoyer à toutes vos amies...

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    (Pour retrouver la série complète des e-cards, cliquez ici)

     

    De Beyrouth à Paris, il n'y a qu'un pas que les Pintades ont vite fait de franchir... Vous trouverez désormais "Une vie de pintade à Paris" en livre de poche, de quoi tout savoir sur les us et coutumes de ces drôles d'oiseaux... 

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    Le pitch... Partout dans le monde on les dit élégantes, sophistiquées, gourmandes, séductrices-nées... Ce guide passe à la loupe le mode de vie des Parisiennes, leur rapport aux hommes et à la séduction, dresse un état de la condition féminine à Paris et livre des bons plans mode, beauté, loisirs, etc.

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     (cliquez ici pour retrouver la piquante série parisienne des e-cards)

     

    "Une vie de pintade à Paris" se dévore comme un roman à l'écriture piquante des "Pintades en chef", Laure et Layla, drôle, caustique, fine et qui fait mouche ! Vous y découvrirez avec humour le monde à travers des femmes d'exception ou héroïnes du quotidien, apprendrez plein de choses sur la ville de Paris et les moeurs de ses pintades, que ce soit sur leurs rapports à la chirurgie esthétique, aux hommes, à la grossesse, à l'éducation des enfants, à la gastronomie, etc, etc, tout ça sans tabous avec un ton et un humour décapants !

     

    Derrière la légèreté, le road book de cette pintade parisienne est incroyablement documenté et précis, et loin de la "chick lit" qui tourne en rond à mon goût, j'ai trouvé dans ce livre une vraie étude de moeurs, comparative et fine, entre les pintades parisiennes et leurs non-homologues étrangères.

     

    Cerise sur le gâteau, le récit est truffé de clins d'oeil culturels et pour moi, ça fait aussi la différence entre un livre de "pintade" et un livre de "dinde".

     

    Les éditions Calmann-Lévy  et Le Livre de Poche ont la gentillesse de vous offrir aujourd'hui "Une vie de Pintade à Beyrouth" de Muriel Rozelier et "Une vie de Pintade à Paris" de Layla Demay et Laure Watrin. La première personne à donner la bonne réponse de cette énigme dans les commentaires recevra un exemplaire des deux livres at home !

     

    «Au centre de Beyrouth comme au coeur de Paris,

    vous trouverez ces deux jumeaux toujours liés.

    Trouvez-les, c'est l'explosion de joie assurée ! »

     

    De quoi s'agit-il ?

     

    A vous de jouer !

  • Survivor

    Je suis toujours ravie de vous entendre proposer votre aide à Pokanel, "je pourrais venir construire des écoles à Madagascar le matin et aller à la plage l'après-midi, hein ?", oui.

    Mais la réalité, c'est que sans eau, sans électricité, sans clim, sans web, sans CARTE BLEUE, je sens que les rangs se disséminent... Et puis surtout, on ne vous sent pas encore bien au point sur les techniques de survie.

    C'est pour cela qu'à présent, vous trouverez ici les éléments de votre kit de parfait survivor... en préparation à venir nous aider à Madagascar.


    Pour cette première leçon, nous allons imaginer qu'affamés par 4 jours de jungle et ravis de retrouver la côte, vous décidiez d'aller pêcher l'oursin pour votre déjeuner.


    Gardez à l'esprit que l'oursin est fourbe et que contrairement à vous, il n'est pas enclin à la rencontre.


    En bref, vous vous retrouvez vite affamés ET avec des épines d'oursins profondément ancrées dans la plante des pieds.

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    Le premier réflexe (à part HURLER) est de vouloir se charcuter le pied à l'aide de votre machette... Grossière erreur, ce serait le tétanos assuré !

    Au lieu de ça, il vous suffira de quelques gouttes de jus de papaye sur la piqûre et de beaucoup de patience pour voir s'ouvrir lentement la plaie.

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    En appuyant ensuite doucement à la base de l'épine, vous la verrez sortir petit à petit.

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    Inutile de forcer tel Rambo, l'épine est très friable, risque de se casser dans la chair et vous seriez bons pour le dispensaire de brousse...

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    A noter, que ça marche très bien aussi avec du jus de citron dans le cas des sangsues des eaux marécageuses.

    La prochaine fois, nous verrons comment piroguer avec dignité au milieu des crocodiles...

  • La guerre selon Clara

    À 81 ans, Clara Kramer se rappelle de Clara Schwartz. 

    Celle qu'elle a été et qui à 12 ans a survécu à l'antisémitisme, à la seconde guerre mondiale et au calvaire de ces deux années de terreur au fond d'une cave.

    Aujourd'hui "La guerre selon Clara" nous fait partager son histoire à partir du journal qu’elle a tenu pendant la guerre (conservé au musée de l’Holocauste de Washington).

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    Le pitch... Une vieille dame rescapée de la Shoah nous raconte le terrible destin d’une famille juive dans la Pologne déchirée par la guerre. Clara Schwartz, une jeune Juive polonaise, coule une adolescence heureuse dans la petite ville tranquille de Zolkiew. Jusqu’au jour où la Pologne orientale est envahie par les nazis. Les Schwartz et deux autres familles juives sont sauvés par leur amie et femme de ménage,
    Julia Beck, qui décide de les cacher chez elle. Julia a dû convaincre son mari, un Volksdeutsch plutôt antisémite. Les dix-neuf traqués resteront vingt mois barricadés en sous-sol. Peu à peu, Beck se prend d’affection pour ses protégés et multiplie les risques pour les aider et assurer leur sécurité, devenant ainsi un « Juste malgré lui ». En ville, le bruit court que Beck cache des Juifs. Pour couper court aux rumeurs, il fait un incroyable pari : il invite chez lui les SS et la Gestapo, qui deviennent bientôt des habitués de la maison et passent des soirées entières à boire, chanter et se targuer de leurs sinistres exploits. Sous leurs pieds, Clara et ses compagnons d’infortune ne perdent pas une miette de ces conversations et tremblent pour leur vie. Clara consigne jour après jour dans son journal tous les événements qui rythment la vie des Beck, à l’étage, et celle des Juifs au sous-sol. Après-guerre, c’est ce journal qui sauvera les Beck, accusés par les Soviétiques de collaboration.

     

    Cette chronique délivrée par une fillette de douze ans est une extraordinaire leçon de survie, de courage et d’amour. Il constitue un poignant témoignage sur les horreurs de la Shoah, et surtout un vibrant hommage à la grandeur de l’esprit humain.

     

    Les éditions Calmann-Lévy ont la gentillesse de vous offrir aujourd'hui "La guerre selon Clara" de Clara Kramer, et la première personne à donner la bonne réponse de cette énigme dans les commentaires recevra un exemplaire du livre at home !

     

    «Impossible d'y jouer la main fermée,

    Et lorsqu'il a abrité des officiers,

      Elle a su tout son courage démontrer.

    Au nom d'Umberto, elle répondit oui

    chaque fois que l'Art fut brûlé et meurtri»

     

    De qui s'agit-il ?

     

    A vous de jouer !

  • La Freak Night à la vanille !

    Le 31 octobre 2009, le soleil se couchera à 17h30 sur Paris... C'est à 18h que les chasseurs de trésors de Pokanel s'élanceront d'un mystérieux lieu de rendez-vous au coeur de Paris.

    Munis de lampes frontales et de gourdes de Mojitos, à vous de dénicher en résolvant les énigmes de votre road book, les trésors cachés par Pokanel sur les parcours de la Freak Night aka "La Route de la Soif" !

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    Bonne humeur et lampe frontale obligatoires, rires garantis ! Champagne à l'arrivée ! 

    La participation de 15 euros par personne financera la construction par Pokanel de ce puits pour l'école d'Ambodiafontsy à Madagascar.

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    Les inscriptions à la Freak Night sont ouvertes jusqu'au 18 octobre et dans la limite des places disponibles. Pour valider votre participation, merci de verser 15 euros par Paypal à contact@pokanel.org ou par chèque à l'ordre de Pokanel adressé à Pokanel 68 rue d'Aguesseau 92100 Boulogne-Billancourt. Vous recevrez en retour par équipe la première énigme à résoudre pour découvrir notre lieu de rendez-vous.

     

    Vous allez me dire "ok mais qu'est-ce qu'on gagne ?"

    En plus d'un karma très favorable pour les trois prochaines générations, vous pourrez gagner un véritable trésor rapporté tout droit de Madagascar la semaine dernière...

    Je suis allée vous chercher directement du producteur au consommateur des gousses de vanille de la meilleure qualité. Avec en bonus, les images de la préparation de vos paquets sur le terrain...

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     (fabrication des sachets sous vide)

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     (Confection des bottes de 12 gousses de vanille chacune)

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    (Fermeture pour la conservation de l'arôme)

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     (Retour joyeux avec mon trésor pour les gagnants de la Freak Night)

     

    Vous savez ce qu'il vous reste à faire...

    Et surtout n'oubliez pas votre lampe frontale ! J'ai découvert lors des repérages combien les rues de Paris étaient peu éclairées la nuit... Bienvenue dans votre Koh Lanta urbain !

  • Comme un poisson dans l'eau

    Alors qu'il suffit à la plupart d'entre nous d'un geste pour obtenir instantanément de l'eau ou de la lumière, à Ambodiafontsy rien ne relève de cette évidence.

     

    Notamment pour la fourniture de l'eau.

     

    L'école n'étant pas raccordée au réseau d'eau de la JIRAMA, il faut à chaque élève apporter tous les jours dans une bouteille, l'eau nécessaire au brossage des dents institué aux deux récréations par Pokanel. L'eau consommée pour l'hygiène quotidienne et l'entretien de l'école est puisée à une pompe présente au bord de la piste qui traverse le village.

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    Cette pompe à eau appartenant à la JIRAMA, son robinet est cadenassé et il faut avant de pouvoir tirer de l'eau, aller quérir dans le village le responsable de la pompe (avec de la chance, on le trouve dans la 1/2 heure) et lui payer 20 Ariary par seau d'eau tirée.

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    A la fin du mois, cette facture d'eau est répartie entre chaque écolier, augmentant ainsi les frais d'écolage mensuels que la majorité des familles a déjà bien du mal à payer (l'écolage représentant par enfant 4% d'un SMIC malgache, salaire que beaucoup n'atteignent pas). 

    Pour remédier à cette situation aussi coûteuse que peu pratique, Pokanel va construire un puits à l'entrée de la cour d'école.  Ce 22 septembre, j'avais rendez-vous sur place pour une réunion de chantier entre l'entrepreneur, son aide, la directrice de l'école et moi-même.

    Réunion de chantier sans paperboard mais avec une surface d'écriture illimitée...

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    Echanges, réflexion, divergences, la réunion s'éternise mais est au final constructive. Les travaux à Madagascar se faisant généralement sans l'ombre d'un cahier des charges, patience et négociations doivent faire bon ménage...

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    Surtout quand Mahery et ses copains s'invitent au milieu de la réunion...

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    Les travaux du puits débuteront le 5 octobre prochain et seront terminés pour le 31 octobre (avant le début de la saison de pluie).

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    Le projet sera financé par les inscriptions de 15 euros à la Freak Night qui se déroulera le 31 octobre dans Paris. 

    Vous pourrez donc fêter dignement cette soirée de chasse aux trésors nocturne de Pokanel dans Paris. Votre motivation à évoluer -comme des poissons dans l'eau- dans Paris, et à vous désaltérer cette nuit-là permettra aux enfants d'Ambodiafontsy d'en faire autant !