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pokanel - Page 10

  • Du bon & beau à la Freak Night

    J-5 avant la Freak Night, nous avons hâte d'y être !

    La nuit s'annonce aux parfums et richesses de Madagascar en plein coeur de Paris puisque nous avons rapporté de la Grande Ile plein de cadeaux pour les Night Freakers...

    Ainsi que de superbes produits que vous pourrez gagner à la fin du rallye lors de la tombola de Pokanel.

    Des solitaires en bois précieux et pierres semi-précieuses...

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    De jolis sacs ! 

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    De l'épicerie malgache de luxe, de la fleur de sel à la vanille, au combava, au poivre...

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    Du café, du thé, du miel, des confitures pour vos petits-déjeuners et goûters gourmands...

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    Du chocolat noir 73% de cacao à tomber...

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    Et bien sûr, le délicieux rhum de Dzamandzar...

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    Pour participer à la tombola de la Freak Night, il vous suffira d'acheter un billet (ou 10 000) pour la modique de 99 euros 1 euro.

    Les bénéfices de la tombola seront dédiés à l'achat d'un laryngoscope pour le dispensaire d'Ambodiafontsy.

    Je vous laisse rêver au milieu de ces produits, moi j'ai encore des énigmes à écrire et des trésors à cacher avant samedi...

  • Homo sapiens, l'homme sage...

    J'ai profité de ma semaine new-yorkaise pour faire le plein d'inspiration quant à la rédaction des énigmes de Pokanel...

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    Vous allez pouvoir vous régaler avec des phrases métaphysiques à relire 70 fois avant d'en faire le tour...

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    Mais avant cela, j'avais envie de vous faire partager un de mes coups de foudre au Museum of Modern Art. Il s'agit de l'oeuvre "Variable Piece #70: Global 81" de Douglas Huebler qui a réinterprété avec une vision artistique la photo d'un groupe de soldats : 

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    Pointant d'un cercle rouge certains de ces soldats, Huebler a imaginé à quoi pouvaient ressembler ces hommes inconnus, débarassés de leurs  uniforme et casque...

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    Sortis de leur anonymat de groupe puis de soldat, chaque individu redevient alors selon Huebler "une personne qui a tout à gagner et rien à perdre"...

     

    Cette quête d'individualité et son acceptation au sein d'un groupe ou d'une société, on en retrouve l'aspiration dans le livre de Brahim Naït-Balk "Un homo dans la cité".

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    Brahim Naït-Balk a grandi dans la honte. Honte de lui-même, de ses désirs et d’une différence qui l’isolait dans sa propre famille : son homosexualité. Comment vivre avec une telle particularité quand on est musulman, aîné d’une famille marocaine pauvre et nombreuse ? Mais surtout, comment s’épanouir quand on grandit dans des cités de banlieue où la virilité est la valeur suprême et où règne la loi du plus fort ? Alors que Brahim, romantique et sensible, ne rêve que du grand amour, il va subir la violence, les agressions sexuelles et les humiliations quotidiennes que lui font endurer les petits caïds des cités. À la honte de Brahim va s’ajouter la peur.

     

    Terrorisé, il a longtemps rasé les murs avant de se révolter. À 30 ans, il décide de s’affirmer et de vivre ses préférences amoureuses au grand jour. Les difficultés se multiplient, mais cette fois, il les affronte.

     

    Un homo dans la cité retrace le long chemin parcouru par Brahim pour se muer en individu libre. 

     

    Les éditions Calmann-Lévy ont la gentillesse de vous offrir aujourd'hui "Un homo dans la cité" de Brahim Naït-Balk.

     

    La première personne à donner la bonne réponse à cette énigme dans les commentaires recevra un exemplaire du livre at home, et en bonus ce fameux thé de Sahambavy dont je vous ai parlé mardi ! 

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    A l'aide des indices que vous avez déjà, quels sont les noms de l'oeuvre et de son auteur dont est extraite l'image ci-dessus ?

     

    A vous de jouer !

     

    Edit de 11h40 :

     

    BRAVO à Guil qui a résolu l'énigme d'un coup d'un seul !

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  • ça joue !

    Bien souvent, "humanitaire" implique "l'urgence".

     

    Là où c'est loin d'être une évidence, il faut d'abord pouvoir manger, se soigner et apprendre. Forcément les projets riment avec distribution de riz, médicaments et scolarisation.

    A Madagascar, peu de signes extérieurs vous permettent de distinguer une école de n'importe quel autre bâtiment administratif. Seule, la nuée d'enfants présente devant les locaux au moment de la récréation vous le confirmera. Et même là, vous pourriez avoir un doute devant la tranquillité apparente de la scène... Peu de bruits, pas de jeux, pas d'équipements sportifs. Les enfants se rassemblent par petits groupes et semblent deviser aussi sérieux qu'à une sortie de l'Académie française.

     

    Pour bousculer un peu le sens des urgences, une fois traitées les absolues priorités avec les bons de riz, le forage de puits, les kits dentaires, les bourses d'études... 

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    Nous avons décidé de nous attaquer au futile qui fait du bien avec les petits-déjeuners gourmands de Pokanel...

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    Essayer d'insuffler un petit vent de folie joyeuse, de planter des fleurs, des arbres fruitiers, d'échanger des dessins, de la chaleur humaine et des sourires.

     

    Vous souvenez-vous de ce petit garçon rencontré avec sa maman inquiète avant la distribution de riz du mois de septembre ? Trois jours après, le voici qui découvre pour la première fois la douceur d'un doudou...

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    Je pensais à lui et à ses gestes pleins d'attention envers cette peluche offerte lorsque j'ai lu le post de Zette qui se demandait "pourquoi courait Nathalie all over the world ?"... Je crois qu'il est ma réponse la plus simple à cette question.

     

    On peut changer l'ordre des choses. C'est possible.

     

    Donc, après les gourmandises, les doudous pour les petits, la plantation de fleurs et d'arbres pour les grands, nous sommes allés acheter des ballons de foot pour animer les récréations des deux écoles d'Ambodiafontsy.

    Après une matinée de recherches laborieuses, on a fini par dénicher LE ballon adéquat, c'est à dire BEAU, solide donc en cuir et pas trop cher. 

    Ces ballons rouges et blancs ont été tout simplement magiques.

     

    Première phase d'approche et d'observation timide...

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    Laissant vite place à l'enthousiasme, sans pour autant poser sa brosse à dents toute neuve...

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    Pour finir en partie endiablée !...

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    Il ne manque plus pour pouvoir s'y retrouver un peu, que des maillots de couleurs différentes pour savoir si notre passe fait de nous un coéquipier parfait ou un traître à la cause marquant un but contre son camp...

    A suivre...

  • Comment survivre à une Freak Night ?

    Le 31 octobre s'approchant inexorablement, quelques conseils de survie nocturne dans Paris s'imposent...

    Le chemin de la Freak Night peut être pavé d'embûches...

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    Ou se retrécir sensiblement parfois...

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    Il vous faudra absolument être munis d'une lampe frontale parce qu'en bien des circonstances vous aurez besoin de lumière ET de vos deux mains... 

    Pour affronter le froid polaire, une tenue chaude est requise, oubliez vite tout vêtement fashion à résistance inférieure à 2°C...

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    Un plan de Paris complètera avantageusement votre panoplie ainsi qu'une gourde de mojito en soutien psychologique.

    Ces conseils ont été testés et approuvés lors des repérages de la Freak Night et aucun animal n'a été maltraité...

  • Un thé ?

    Madagascar recèle des trésors bien connus et de grande qualité comme ses productions de vanille, de rhum ou de clous de girofle, mais aussi un thé d’une grande finesse qui s’exporte vers les plus importantes bourses aux thés du monde.

     

    Le village de Sahambavy, traduisez le « champ des femmes », est entouré de champs de thé d’un vert tendre et lumineux à perte de vue.

     

    Née en 1970 de la transplantation de boutures du Kenya, cette unique plantation de thé à Madagascar s’étale aujourd’hui sur 336 hectares perchés à 1250 m d’altitude.

     

    Partout dans les champs s’activent les 130 paysans du village, renforcés par 500 employés saisonniers de novembre à avril, pour cueillir avec soin et à la main les précieuses feuilles de thé dont il faudra récolter 5 tonnes pour produire 1 tonne de thé prêt à être consommé.

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    Deux catégories de thés sont cultivées à Sahambavy : le thé noir (depuis la création de la plantation) et le thé vert (depuis deux ans seulement). La production totale annuelle est de 400 et 500 tonnes. 80% sont exportés vers le marché international de thé à Mombasa au Kenya, une des plus fameuses bourses aux thés du monde. Les 20% restants sont conditionnés et vendus sur le marché local par la société TAF.

     

    Pour le futur, l’accent est mis sur le développement du thé vert, actuellement très demandé sur les marchés occidentaux, ainsi que sur un projet de thé bio.

     

    En attendant de découvrir un jour les collines verdoyantes de Sahambavy par vous-même, vous aurez l’occasion de remporter et d’apprécier ce délicieux thé lors des événements de Pokanel !

  • Adolfo Kaminsky, une vie de faussaire

    « Rester éveillé. Le plus longtemps possible. Lutter contre le sommeil. Le calcul est simple. En une heure, je fabrique trente faux papiers. Si je dors une heure, trente personnes mourront... »

    Quand, à 17 ans, Adolfo Kaminsky devient l’expert en faux papiers de la Résistance à Paris, il ne sait pas encore qu’il est pris dans un engrenage infernal, dans une course contre la montre, contre la mort, où chaque minute a la valeur d’une vie. Durant trente ans, il exécutera ce méticuleux travail de faussaire pour de nombreuses causes, mais jamais pour son propre intérêt. 

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    À travers son destin romanesque, et sous la plume de sa fille Sarah, on plonge au cœur d’une histoire de clandestinité, d’engagement, de traque et de peur.
     
    En arrière-plan du récit de sa vie se dessine le spectre d’un siècle où s’affrontent sans merci pouvoirs politiques, haines raciales, idéologies et luttes des peuples pour leur liberté et la dignité humaine. La Résistance, l’émigration clandestine des rescapés des camps avant la création d’Israël, le soutien au FLN, les luttes révolutionnaires d’Amérique du Sud, les guerres de décolonisation d’Afrique, l’opposition aux dictateurs d’Espagne, du Portugal et de Grèce, sont autant de combats pour lesquels il s’est engagé, au risque de sa vie et au prix de nombreux sacrifices.
     
    S’il a rejoint des causes en apparence contradictoires, Adolfo Kaminsky est toujours resté fidèle à ses convictions humanistes, à sa volonté de bâtir un monde de justice et de liberté.
     

    Les éditions Calmann-Lévy ont la gentillesse de vous offrir aujourd'hui "Adolfo Kaminsky, une vie de faussaire" de Sarah Kaminsky.

    La première personne à donner la bonne réponse à cette énigme dans les commentaires recevra un exemplaire du livre at home !

     

    «D'où qu'il vienne et victorieux parmi ses pairs,

    il a donné au nombre des mercenaires,

    une nouvelle figure aux époques traversées,

    reléguant au passé Clovis et ses sujets »

     

    De qui s'agit-il ?

     

    A vous de jouer !

  • My dentist is not rich

    Ambodiafontsy, le 25 septembre 2009.

    C'est l'heure d'apprendre à se brosser les dents...

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     Pour des petits spectateurs très attentifs...

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    Il faut multiplier les démonstrations afin que chacun se brosse soigneusement les dents...

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    Répéter les gestes et les explications pour qu'à la fin de la matinée, plus de 500 enfants apprivoisent cette future habitude.

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    Ravis de reçevoir leurs brosses à dents et dentifrices, tous affichent déjà de bien jolis sourires...

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  • A Beyrouth ou Paris, soyez au rendez-vous des Pintades !

    Symbole de la femme moderne, sérieuse et frivole à la fois, LA Pintade n’est ni une poule ni une dinde. Après New York, Paris et Téhéran, on la retrouve aujourd'hui à Beyrouth, dans une ville sous tension qui risque de déraper à tout moment et où être une pintade est une déclaration de guerre à la guerre.

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    Muriel Rozelier nous fait découvrir avec un humour féroce et tendre les coulisses d’une basse-cour complexe qui ne s’en laisse pas conter. "Une vie de Pintade à Beyrouth" est une étude de mœurs, une galerie de portraits, une mine de conseils et de bonnes adresses. Une boussole pour naviguer dans la capitale libanaise, bref, l’ethnoguide indispensable, à lire d’urgence, même si votre voyage n’est pas pour tout de suite !

     

    Le pitch... À Beyrouth, les pintades ont du vent dans les voiles, des talons à flanquer le vertige à l’aiguille du Midi, des griffes manucurées en toute saison. Ici, être belle est un devoir. Jonglant habilement entre toutes les influences culturelles, elles chérissent leurs mezzés autant que leurs smoothies.


    Et quand elles ont fini de se demander qui elles sont exactement (chiites ou maronites, de la montagne ou de la plaine, du Nord ou du Sud), elles se retrouvent sur la Corniche, sur le front de mer, pour voir autant que pour être vues. Émancipées et pleines de tabous, féminines et militantes, superficielles et courageuses, les habitantes de Beyrouth sont pétries de contradictions.

     
    Femmes soumises, les Libanaises ? Vous repasserez. Les Pintades du Levant vont vous ébouriffer les plumes. Et vous pourriez même décider d’en prendre de la graine (de boulgour).

     

    En attendant de poster vos cartes de Beyrouth, profitez des e-cards (gratuites) à envoyer à toutes vos amies...

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    (Pour retrouver la série complète des e-cards, cliquez ici)

     

    De Beyrouth à Paris, il n'y a qu'un pas que les Pintades ont vite fait de franchir... Vous trouverez désormais "Une vie de pintade à Paris" en livre de poche, de quoi tout savoir sur les us et coutumes de ces drôles d'oiseaux... 

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    Le pitch... Partout dans le monde on les dit élégantes, sophistiquées, gourmandes, séductrices-nées... Ce guide passe à la loupe le mode de vie des Parisiennes, leur rapport aux hommes et à la séduction, dresse un état de la condition féminine à Paris et livre des bons plans mode, beauté, loisirs, etc.

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     (cliquez ici pour retrouver la piquante série parisienne des e-cards)

     

    "Une vie de pintade à Paris" se dévore comme un roman à l'écriture piquante des "Pintades en chef", Laure et Layla, drôle, caustique, fine et qui fait mouche ! Vous y découvrirez avec humour le monde à travers des femmes d'exception ou héroïnes du quotidien, apprendrez plein de choses sur la ville de Paris et les moeurs de ses pintades, que ce soit sur leurs rapports à la chirurgie esthétique, aux hommes, à la grossesse, à l'éducation des enfants, à la gastronomie, etc, etc, tout ça sans tabous avec un ton et un humour décapants !

     

    Derrière la légèreté, le road book de cette pintade parisienne est incroyablement documenté et précis, et loin de la "chick lit" qui tourne en rond à mon goût, j'ai trouvé dans ce livre une vraie étude de moeurs, comparative et fine, entre les pintades parisiennes et leurs non-homologues étrangères.

     

    Cerise sur le gâteau, le récit est truffé de clins d'oeil culturels et pour moi, ça fait aussi la différence entre un livre de "pintade" et un livre de "dinde".

     

    Les éditions Calmann-Lévy  et Le Livre de Poche ont la gentillesse de vous offrir aujourd'hui "Une vie de Pintade à Beyrouth" de Muriel Rozelier et "Une vie de Pintade à Paris" de Layla Demay et Laure Watrin. La première personne à donner la bonne réponse de cette énigme dans les commentaires recevra un exemplaire des deux livres at home !

     

    «Au centre de Beyrouth comme au coeur de Paris,

    vous trouverez ces deux jumeaux toujours liés.

    Trouvez-les, c'est l'explosion de joie assurée ! »

     

    De quoi s'agit-il ?

     

    A vous de jouer !

  • Survivor

    Je suis toujours ravie de vous entendre proposer votre aide à Pokanel, "je pourrais venir construire des écoles à Madagascar le matin et aller à la plage l'après-midi, hein ?", oui.

    Mais la réalité, c'est que sans eau, sans électricité, sans clim, sans web, sans CARTE BLEUE, je sens que les rangs se disséminent... Et puis surtout, on ne vous sent pas encore bien au point sur les techniques de survie.

    C'est pour cela qu'à présent, vous trouverez ici les éléments de votre kit de parfait survivor... en préparation à venir nous aider à Madagascar.


    Pour cette première leçon, nous allons imaginer qu'affamés par 4 jours de jungle et ravis de retrouver la côte, vous décidiez d'aller pêcher l'oursin pour votre déjeuner.


    Gardez à l'esprit que l'oursin est fourbe et que contrairement à vous, il n'est pas enclin à la rencontre.


    En bref, vous vous retrouvez vite affamés ET avec des épines d'oursins profondément ancrées dans la plante des pieds.

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    Le premier réflexe (à part HURLER) est de vouloir se charcuter le pied à l'aide de votre machette... Grossière erreur, ce serait le tétanos assuré !

    Au lieu de ça, il vous suffira de quelques gouttes de jus de papaye sur la piqûre et de beaucoup de patience pour voir s'ouvrir lentement la plaie.

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    En appuyant ensuite doucement à la base de l'épine, vous la verrez sortir petit à petit.

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    Inutile de forcer tel Rambo, l'épine est très friable, risque de se casser dans la chair et vous seriez bons pour le dispensaire de brousse...

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    A noter, que ça marche très bien aussi avec du jus de citron dans le cas des sangsues des eaux marécageuses.

    La prochaine fois, nous verrons comment piroguer avec dignité au milieu des crocodiles...