Aujourd’hui, mode et cinéma sont à l’honneur chez Pokanel !

Le film "Coco Chanel & Igor Stravinsky" de Jan Kounen ("Dobermann", "99 Francs") est présenté en clôture de la Sélection officielle du Festival de Cannes 2009.

Anna Mouglalis, égérie Chanel, y incarne la Grande Mademoiselle et Mads Mikkelsen, le compositeur russe Igor Stravinsky. (Sortira en salles prochainement, j'ignore quand précisement).

Le pitch de ce roman intense et surprenant...

Paris 1913, Coco Chanel est toute dévouée à son travail et vit une grande histoire d’amour avec le fortuné Boy Capel.

Au Théâtre des Champs-Élysées, Igor Stravinsky- jeune compositeur inconnu- présente le Sacre du Printemps. Coco Chanel se rend à la Première, habillée d'une somptueuse robe blanche, en opposition aux tenues de soirée de la morne bourgeoisie parisienne. Coco est subjuguée. Mais l’œuvre, jugée anticonformiste, est conspuée par une salle au bord de l’émeute.

7 ans plus tard, Coco, couronnée de succès, est dévastée par la mort de Boy 

Igor, réfugié à Paris suite à la révolution russe, fait alors sa connaissance. La rencontre est électrique...
Attirée par sa personnalité davantage que par son physique, Coco propose à Igor de l’héberger dans sa villa près de Garches où elle compte passer l'été, L'homme sans un sou accepte et s’y installe avec sa femme atteinte de la tuberculose et ses quatre enfants.
Commence alors une liaison passionnée entre les deux créateurs…Alors que sa maison de couture connaît un succès grandissant, Coco prépare le lancement de son parfum Chanel nº5. Igor, lui, retravaille Le Sacre du Printemps. La liaison adultère crée une tension de plus en plus forte dans la maison...

Un roman surprenant tant le personnage de Coco Chanel semble avoir la passion comme unique moteur... J'aurais volontiers rêvé sur les traces de Coco et d'Igor, à la plage avec un cocktail (de fruits) frais... mais j'ai dû me contenter de le dévorer dans le TGV. En tout cas, je vous le recommande comme "lecture playa de qualité" cet été. 

En attendant vos vacances, les éditions Calmann-Lévy ont la gentillesse de vous offrir "Coco et Igor" dès aujourd'hui. La première personne à donner la bonne réponse dans les commentaires de ce post recevra un exemplaire du livre at home !

«Diane n’a pas d’adresse lorsqu’il est absent,
Et demeure bien plus sage qu’une image,
En attendant que vous rapprochiez les mots manquants.
C’est le jour de célébrer la belle,
Même si au final, vous l’amputerez d’une aile… »

"Qui suis-je" ?

A vous de jouer !   

C'est un fait, les posts sur le tricot sont vos préférés...

Pour cette raison, nous avons décidé d'initier les Echanges Tricot International entre Paris et Antananarivo.

L'idée est de proposer à des blogueuses tricoteuses de créer et d'offrir leurs oeuvres à des familles malgaches qui en seront ravies.

J'ai essayé de donner l'exemple en tricotant une écharpe (il fait 5°C le soir en juillet sur les hauts plateaux malgaches) mais j'ai dû me rendre à l'évidence... Il vaut mieux que je continue le tennis ne pas complexer toutes les participantes du Knit Spirit qui admirent mes points mousse ancestraux japonais.

Heureusement, Kriss est bien plus douée en tricot et sa réalisation beaucoup plus probante !

La première écharpe du Tricot International était donc prête à s'envoler vers Madagascar...

Attention... Magie des effets spéciaux... Voici Sandy, très touchée par le cadeau de Kriss et fière à l'idée de "la porter à la communion de ma fille au mois de juin" !

Une semaine plus tard, Sandy tenait à offrir à Kriss en échange, une pochette tricotée en sisal (la laine coûtant beaucoup trop cher à Madagascar par rapport au niveau de vie) qu'elle s'était empressée de réaliser pour Kriss.

Voici donc le premier échange chaleureux du Tricot International. Merci beaucoup à Kriss et Sandy pour les sourires et l'attention échangés...

Tout comme Kriss, si vous en avez envie, à vos aiguilles !

En lisant le magazine Voici Stratégies, Caroline me faisait remarquer la semaine dernière que les grandes marques étaient en train de copier les concepts révolutionnaires de Pokanel... 

Exemple avec le "C'est Chic, c'est Cannes !", honteuse récupération du Chic Trophy !

Pour damer le pion aux copieurs, j'ai aussitôt demandé à mon amie Varda de créer pour le Chic Trophy des pièces uniques, signées, numérotées, sans contrefaçon possible...

En exclusivité, voici les savons du Chic Trophy au miel et à la vanille, ingrédients venus tout droit de Madagascar :

Cet après-midi, ils séchaient sagement dans leurs moules en attendant leur D DAY du 6 juin.

Alors... Chic ?

Aujourd'hui, Pokanel vous propose de repartir sur les traces d'Epiphane... Mais si, souvenez-vous, le héros de Abracadagascar !

Encore plus magique que le tome I, "Le Sceau de Cyané" vous téléportera à la recherche d'un talisman au coeur d'une planète à côté de laquelle... Koh Lanta passe pour un paisible village de vacances !!

Le pitch du livre : "Plus très sûr de vouloir encore apprendre la magie, brisé par les révélations des maîtres d'Élatha, Épihane fait appel à l’oiseau sîmorgh et quitte l’Arbre-Mère pour réfléchir loin de tout. Si Kimyan, son meilleur ami depuis l’enfance et en réalité son frère jumeau, est l’enfant désiré par le sombre Seigneur Sarpédon, Piphan’, doit lui sa naissance à la seule volonté de leur mère Gaïa. Et pour sauver ce frère, Piphan’ doit achever sa formation.

Après son initiation dans l’île fabuleuse luxuriante, il va aborder des contrées sauvages. Mais les arbres-pieuvres, les gargouilles des sables, et même le redoutable dragon noir genka, ne sont que le prélude à une bien plus terrible bataille. Partout sur la planète, d’étranges mutations se produisent. Pour trouver la partie manquante du sceau de Cyané, le puissant talisman transmis par sa mère, Épiphane va-t-il pouvoir assumer son rôle d’élu ? Et résister aux dangers de la magie…"

Ménéas Marphil continue son fabuleux voyage dans la faune et la flore de l’île merveilleuse d’Abracadagascar, où créatures réelles et magiques coexistent harmonieusement.
À l’influence de la littérature fantastique s’ajoutent des emprunts au cinéma, à l’illustration ou à la bande dessinée dont notre imaginaire est nourri. Et on se retrouve entrainé à travers un espace-temps où les mythologies s’entremêlent et les choses sont plus liées qu’il n’y paraît...

Grâce à la maison d'édition Au diable vauvert, vous allez pouvoir découvrir et gagner aujourd'hui "Le Sceau de Cyané"!

Le premier d'entre vous à écrire la solution de l'énigme qui suit, gagnera un fabuleux voyage concocté par Ménéas Marphil avec tout le confort dû à votre état de futur Chic Trophyer...

"Tina en maillot

Vous guidera de trois mots.

Pas la peine d'apporter un drapeau,

Après la jungle viendra le château d'eau,

Et votre gloire sera d'avoir vu les plus gros

 Des rayons du masoandro"

Jusqu'à quel endroit, l'énigme vous guide-t-elle ? ("Devant mon ordi au bureau, pourquoi ?" n'est pas la réponse attendue...)

A vous de jouer ! 

(* : Arrive avec un sourire)

Carnet de voyages incroyables, dont l'auteur Pierre Josse "raconte" ses périples et découvertes du bout du monde en cartes postales de sa composition ! 

C'est beau, surprenant, enrichissant et même émouvant pour certaines cartes. Une de mes préférées... celle du Laos.

Et il y en a 24 autres à découvrir en prenant son temps en simples curieux, en futurs voyageurs de la destination, en visiteurs déjà conquis par les pays traversés.

Originales "cartes à rêver" en tout cas !

Pour en gagner un exemplaire, je vous propose de partir tout de suite en terre inconnue....

Vivaldi ignorait une saison capitale…
C’est pourtant pendant son temps,
Que cette immense terre devient mer,
Les paresseux restent bien accrochés,
Et son oiseau mythique continue de chanter…

Laquelle ?

A vous de jouer !

Scoop : voici le futur bracelet des Chic People !

Ceux de l'Electrocardiographe... que je n'ai pas eu le temps de configurer au PC ce soir.

En voyant tout ce matériel arriver aujourd'hui, je pensais à la première fois que j'en avais entendu parler, dans le bureau du médecin du dispensaire.

Florentine Ramanambe, vice-présidente du collectif de gestion du dispensaire, m'avait glissé à l'oreille "il faudrait cet appareil pour faire les électrocardiogrammes parce que nous sommes trop loin de l'hôpital, je sais que ça coûte cher mais vois avec Anita ce que vous pouvez faire..."

Voilà, c'est fait !

Mais ce même matin, il y a un an, l'électrocardiographe n'était encore qu'un lointain projet et le docteur Hanitra s'adressait tout à coup à moi en semblant toute gênée... Une histoire de thermomètres frontaux pour mesurer la fièvre induite par la dengue et dont elle n'arrivait pas à comprendre la notice...

Je me souvenais parfaitement les avoir apportés ces thermomètres... Anita me les avait remis juste avant de quitter Paris, "j'ai obtenu un lot de 20 pièces qui sera très utile pour le dispensaire". Dans la rapidité du départ, nous n'en avons pas plus parlé, j'ai pris le sac de thermomètres, direction Madagascar.

Et ce matin-là, devant la confusion du docteur Hanitra, je me suis penchée de plus près sur ces fameux thermomètres et leur notice...

C'est peu dire que j'ai alors vécu un grand moment de solitude.

Devant le médecin, son assistante et quelques 5 autres personnes, je me suis dit qu'Anita avait dû les voler, les trouver, les reçevoir en cadeau d'un bienfaiteur des pays de l'Est... Pas un mot de français et une notice pleine de conditions très précises à respecter pour obtenir un diagnostic fiable...

Gérard d'Aboville et sa traversée à la rame, le retour ! Pendant 10 minutes au moins... avec des chiffres à convertir en Fahrenheit puis en degrés celsius, des languettes qui devaient virer de couleurs mais pas plus loin qu'un certain repère, sinon il fallait diviser par x et retrancher y, etc, etc... J'ai moi aussi viré (à l'intérieur) du rouge, au blanc en passant par le vert...

Je ne sais pas comment j'ai pu zapper ce moment de gloire linguistique et surtout oublier d'en parler à mon retour... jusqu'à aujourd'hui lorsque j'ai entendu l'intéressée me dire au téléphone "super ! j'ai eu d'autres thermomètres !"... mais pressées par le temps, notre conversation s'est arrêtée là.

Alors avant d'oublier de nouveau... J'adresse via ce post un message subliminal en direction de celle qui se reconnaîtra... pour qu'elle glisse dans un certain sac, une petite traduction en malgache ou français... des grandes lignes d'une notice semblant provenir de la frontière russo-chinoise... спасибо !

Lorsque j'ai lu le pitch de Poussière d'os de Simon Beckett, j'ai crié au plagiat !

"David Hunter, anthropologue médico-légal, s’apprête à prendre l’avion pour rentrer chez lui à Londres. 
À la demande d’un de ses collègues, il accepte de faire un détour par la petite île de Runa, dans les Hébrides, pour examiner un cadavre qui laisse la police locale perplexe : dans une cabane abandonnée, on a retrouvé un corps entièrement calciné… à l’exception des pieds et d’une main. Le local, lui, a été épargné par les flammes. Un cas de combustion spontanée, conclut l’enquête. Peu probable… 
Selon Hunter, il s’agit plutôt d’un crime et le meurtrier est sans doute encore sur l’île. Il demande du renfort. Trop tard : la tempête du siècle s’abat sur Runa, coupant toute communication avec le reste du pays. Hunter est désormais seul pour affronter un ennemi insaisissable…" 

C'est le scénario de "Natacha, hôtesse de l'air - L'île d'outre-monde" !

Sauf que Natacha est remplacée par David, que l'île n'est pas celle de Runa, qu'il n'y a pas de yeti dans le bunker, mais sinon c'est exactement la même chose : le portable ne passe pas.

A la lecture de la première page, j'avais l'air inspiré d'un expert à Manhattan devant son microscope... je savais tout sur la combustion de la peau, des os, des viscères, la joie... 

La suite, je ne peux pas vous la raconter, suspens oblige... "Poussière d'os" est à adopter de toute urgence.

En attendant le Chic Trophy, nous vous proposons une petite énigme pour gagner et recevoir un exemplaire du livre at home, gentiment offert par les Editions Calmann-Lévy !

Sur quelle petite île, suis-je en train de tracer le coeur de Pokanel ?

A vous de jouer ! 

Lorsque j'ai rencontré Florent Grandin, le directeur marketing de la maison d'édition Au diable vauvert, il était très... occupé.

En pleine semaine du Salon du Livre, en fait. Accaparé par trois nouvelles personnes à chaque minute, j'ai pensé en le voyant dans cette effervescence que ça allait être super facile de lui présenter Pokanel, nos actions à Madagascar et de le convaincre des bienfaits incroyables que lui apporterait un futur partenariat... Genre, je ne pouvais pas mieux choisir mon moment, j'étais dans LE bon timing.

Bon, en vérité chez Pokanel, on a mis au point un tas de concepts marketing révolutionnaires fondés sur notre enthousiasme, optimisme, inconscience, prise de drogues, feeling et qui fonctionnent à grand renfort de "Pourquoi pas ?".

Donc, la rencontre avec Florent Grandin... top efficacité, top crédibilité, top sympathie en prime. Résultat aussi magique que le livre que vous allez pouvoir découvrir et gagner aujourd'hui grâce Au diable vauvert !

Abraca... dagascar sous vos yeux de geeks ébahis...

Je pourrais vous copier/coller le pitch du livre [Épiphane, jeune orphelin de 15 ans, vit sur l’îlot Nat, au milieu de l’océan Indien. Il a été recueilli par mère Pélagie et sœur Bertille, les deux intendantes de l’orphelinat. Il y mène une vie tranquille, jusqu’au jour où il décide de retrouver son père qu’il sent vivant quelque part.
Bravant l’interdit de mère Pélagie, il fuit d’abord sur l’île voisine dans l’espoir de rejoindre son parrain, Don Mercurio Da Vita. Mais au fil des rencontres, il se découvre les pouvoirs d’un futur grand magicien et embarque avec ses amis pour Elatha, sur l’île fabuleuse d’Abracadagascar.
Elatha est le plus grand centre de magie ancestrale au monde, celle des origines du pouvoir. Epiphane y découvre un univers prodigieux dans une nature luxuriante et nourricière, où arbre immense doté d’une vie propre abrite l’école de magie. Et comme le célèbre Harry Potter dans son école de Poudlard, il y entame son initiation…
Premier tome d’un cycle en quatre volumes, Abracadagascar nous emmène dans un monde où la magie naturelle de l’océan Indien rivalise avec celle des sorciers. Avec une impressionnante et subtile érudition, Ménéas Marphil a su créer un univers où toutes les mythologies connues se répondent de façon troublante pour ré-enchanter notre monde, réel et imaginaire mêlés. Formidable dépaysement, inoubliable récit fantastique, roman d’aventure plein de simplicité et d’humanisme, Abracadagascar est aussi une découverte de nos grandes mythologies fondatrices, grecque, médiévale ou celte] mais le livre est 1000 fois plus prenant, dépaysant, merveilleux que le pitch, juste impossible de le lâcher et de quitter l'île de Madagascar d'Abracadagascar !

Fans d'Harry Potter, précipitez-vous sur les traces d'Epiphane !

Aujourd'hui, le premier d'entre vous à écrire la solution de l'énigme qui suit, embarquera directement pour le fabuleux voyage de Ménéas Marphil avec le bâton de magicien et tout et tout...

" Partout sur l'île, ils seront invoqués

afin que chacun retrouve son intériorité.

Par la voix du messager,

vous serez conseillés "

Mais comment nomme-t-on en malgache ce "messager" ?

A vous de jouer !