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Pokanel - Page 28

  • A Beyrouth ou Paris, soyez au rendez-vous des Pintades !

    Symbole de la femme moderne, sérieuse et frivole à la fois, LA Pintade n’est ni une poule ni une dinde. Après New York, Paris et Téhéran, on la retrouve aujourd'hui à Beyrouth, dans une ville sous tension qui risque de déraper à tout moment et où être une pintade est une déclaration de guerre à la guerre.

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    Muriel Rozelier nous fait découvrir avec un humour féroce et tendre les coulisses d’une basse-cour complexe qui ne s’en laisse pas conter. "Une vie de Pintade à Beyrouth" est une étude de mœurs, une galerie de portraits, une mine de conseils et de bonnes adresses. Une boussole pour naviguer dans la capitale libanaise, bref, l’ethnoguide indispensable, à lire d’urgence, même si votre voyage n’est pas pour tout de suite !

     

    Le pitch... À Beyrouth, les pintades ont du vent dans les voiles, des talons à flanquer le vertige à l’aiguille du Midi, des griffes manucurées en toute saison. Ici, être belle est un devoir. Jonglant habilement entre toutes les influences culturelles, elles chérissent leurs mezzés autant que leurs smoothies.


    Et quand elles ont fini de se demander qui elles sont exactement (chiites ou maronites, de la montagne ou de la plaine, du Nord ou du Sud), elles se retrouvent sur la Corniche, sur le front de mer, pour voir autant que pour être vues. Émancipées et pleines de tabous, féminines et militantes, superficielles et courageuses, les habitantes de Beyrouth sont pétries de contradictions.

     
    Femmes soumises, les Libanaises ? Vous repasserez. Les Pintades du Levant vont vous ébouriffer les plumes. Et vous pourriez même décider d’en prendre de la graine (de boulgour).

     

    En attendant de poster vos cartes de Beyrouth, profitez des e-cards (gratuites) à envoyer à toutes vos amies...

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    (Pour retrouver la série complète des e-cards, cliquez ici)

     

    De Beyrouth à Paris, il n'y a qu'un pas que les Pintades ont vite fait de franchir... Vous trouverez désormais "Une vie de pintade à Paris" en livre de poche, de quoi tout savoir sur les us et coutumes de ces drôles d'oiseaux... 

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    Le pitch... Partout dans le monde on les dit élégantes, sophistiquées, gourmandes, séductrices-nées... Ce guide passe à la loupe le mode de vie des Parisiennes, leur rapport aux hommes et à la séduction, dresse un état de la condition féminine à Paris et livre des bons plans mode, beauté, loisirs, etc.

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     (cliquez ici pour retrouver la piquante série parisienne des e-cards)

     

    "Une vie de pintade à Paris" se dévore comme un roman à l'écriture piquante des "Pintades en chef", Laure et Layla, drôle, caustique, fine et qui fait mouche ! Vous y découvrirez avec humour le monde à travers des femmes d'exception ou héroïnes du quotidien, apprendrez plein de choses sur la ville de Paris et les moeurs de ses pintades, que ce soit sur leurs rapports à la chirurgie esthétique, aux hommes, à la grossesse, à l'éducation des enfants, à la gastronomie, etc, etc, tout ça sans tabous avec un ton et un humour décapants !

     

    Derrière la légèreté, le road book de cette pintade parisienne est incroyablement documenté et précis, et loin de la "chick lit" qui tourne en rond à mon goût, j'ai trouvé dans ce livre une vraie étude de moeurs, comparative et fine, entre les pintades parisiennes et leurs non-homologues étrangères.

     

    Cerise sur le gâteau, le récit est truffé de clins d'oeil culturels et pour moi, ça fait aussi la différence entre un livre de "pintade" et un livre de "dinde".

     

    Les éditions Calmann-Lévy  et Le Livre de Poche ont la gentillesse de vous offrir aujourd'hui "Une vie de Pintade à Beyrouth" de Muriel Rozelier et "Une vie de Pintade à Paris" de Layla Demay et Laure Watrin. La première personne à donner la bonne réponse de cette énigme dans les commentaires recevra un exemplaire des deux livres at home !

     

    «Au centre de Beyrouth comme au coeur de Paris,

    vous trouverez ces deux jumeaux toujours liés.

    Trouvez-les, c'est l'explosion de joie assurée ! »

     

    De quoi s'agit-il ?

     

    A vous de jouer !

  • Survivor

    Je suis toujours ravie de vous entendre proposer votre aide à Pokanel, "je pourrais venir construire des écoles à Madagascar le matin et aller à la plage l'après-midi, hein ?", oui.

    Mais la réalité, c'est que sans eau, sans électricité, sans clim, sans web, sans CARTE BLEUE, je sens que les rangs se disséminent... Et puis surtout, on ne vous sent pas encore bien au point sur les techniques de survie.

    C'est pour cela qu'à présent, vous trouverez ici les éléments de votre kit de parfait survivor... en préparation à venir nous aider à Madagascar.


    Pour cette première leçon, nous allons imaginer qu'affamés par 4 jours de jungle et ravis de retrouver la côte, vous décidiez d'aller pêcher l'oursin pour votre déjeuner.


    Gardez à l'esprit que l'oursin est fourbe et que contrairement à vous, il n'est pas enclin à la rencontre.


    En bref, vous vous retrouvez vite affamés ET avec des épines d'oursins profondément ancrées dans la plante des pieds.

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    Le premier réflexe (à part HURLER) est de vouloir se charcuter le pied à l'aide de votre machette... Grossière erreur, ce serait le tétanos assuré !

    Au lieu de ça, il vous suffira de quelques gouttes de jus de papaye sur la piqûre et de beaucoup de patience pour voir s'ouvrir lentement la plaie.

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    En appuyant ensuite doucement à la base de l'épine, vous la verrez sortir petit à petit.

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    Inutile de forcer tel Rambo, l'épine est très friable, risque de se casser dans la chair et vous seriez bons pour le dispensaire de brousse...

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    A noter, que ça marche très bien aussi avec du jus de citron dans le cas des sangsues des eaux marécageuses.

    La prochaine fois, nous verrons comment piroguer avec dignité au milieu des crocodiles...

  • La guerre selon Clara

    À 81 ans, Clara Kramer se rappelle de Clara Schwartz. 

    Celle qu'elle a été et qui à 12 ans a survécu à l'antisémitisme, à la seconde guerre mondiale et au calvaire de ces deux années de terreur au fond d'une cave.

    Aujourd'hui "La guerre selon Clara" nous fait partager son histoire à partir du journal qu’elle a tenu pendant la guerre (conservé au musée de l’Holocauste de Washington).

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    Le pitch... Une vieille dame rescapée de la Shoah nous raconte le terrible destin d’une famille juive dans la Pologne déchirée par la guerre. Clara Schwartz, une jeune Juive polonaise, coule une adolescence heureuse dans la petite ville tranquille de Zolkiew. Jusqu’au jour où la Pologne orientale est envahie par les nazis. Les Schwartz et deux autres familles juives sont sauvés par leur amie et femme de ménage,
    Julia Beck, qui décide de les cacher chez elle. Julia a dû convaincre son mari, un Volksdeutsch plutôt antisémite. Les dix-neuf traqués resteront vingt mois barricadés en sous-sol. Peu à peu, Beck se prend d’affection pour ses protégés et multiplie les risques pour les aider et assurer leur sécurité, devenant ainsi un « Juste malgré lui ». En ville, le bruit court que Beck cache des Juifs. Pour couper court aux rumeurs, il fait un incroyable pari : il invite chez lui les SS et la Gestapo, qui deviennent bientôt des habitués de la maison et passent des soirées entières à boire, chanter et se targuer de leurs sinistres exploits. Sous leurs pieds, Clara et ses compagnons d’infortune ne perdent pas une miette de ces conversations et tremblent pour leur vie. Clara consigne jour après jour dans son journal tous les événements qui rythment la vie des Beck, à l’étage, et celle des Juifs au sous-sol. Après-guerre, c’est ce journal qui sauvera les Beck, accusés par les Soviétiques de collaboration.

     

    Cette chronique délivrée par une fillette de douze ans est une extraordinaire leçon de survie, de courage et d’amour. Il constitue un poignant témoignage sur les horreurs de la Shoah, et surtout un vibrant hommage à la grandeur de l’esprit humain.

     

    Les éditions Calmann-Lévy ont la gentillesse de vous offrir aujourd'hui "La guerre selon Clara" de Clara Kramer, et la première personne à donner la bonne réponse de cette énigme dans les commentaires recevra un exemplaire du livre at home !

     

    «Impossible d'y jouer la main fermée,

    Et lorsqu'il a abrité des officiers,

      Elle a su tout son courage démontrer.

    Au nom d'Umberto, elle répondit oui

    chaque fois que l'Art fut brûlé et meurtri»

     

    De qui s'agit-il ?

     

    A vous de jouer !

  • La Freak Night à la vanille !

    Le 31 octobre 2009, le soleil se couchera à 17h30 sur Paris... C'est à 18h que les chasseurs de trésors de Pokanel s'élanceront d'un mystérieux lieu de rendez-vous au coeur de Paris.

    Munis de lampes frontales et de gourdes de Mojitos, à vous de dénicher en résolvant les énigmes de votre road book, les trésors cachés par Pokanel sur les parcours de la Freak Night aka "La Route de la Soif" !

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    Bonne humeur et lampe frontale obligatoires, rires garantis ! Champagne à l'arrivée ! 

    La participation de 15 euros par personne financera la construction par Pokanel de ce puits pour l'école d'Ambodiafontsy à Madagascar.

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    Les inscriptions à la Freak Night sont ouvertes jusqu'au 18 octobre et dans la limite des places disponibles. Pour valider votre participation, merci de verser 15 euros par Paypal à contact@pokanel.org ou par chèque à l'ordre de Pokanel adressé à Pokanel 68 rue d'Aguesseau 92100 Boulogne-Billancourt. Vous recevrez en retour par équipe la première énigme à résoudre pour découvrir notre lieu de rendez-vous.

     

    Vous allez me dire "ok mais qu'est-ce qu'on gagne ?"

    En plus d'un karma très favorable pour les trois prochaines générations, vous pourrez gagner un véritable trésor rapporté tout droit de Madagascar la semaine dernière...

    Je suis allée vous chercher directement du producteur au consommateur des gousses de vanille de la meilleure qualité. Avec en bonus, les images de la préparation de vos paquets sur le terrain...

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     (fabrication des sachets sous vide)

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     (Confection des bottes de 12 gousses de vanille chacune)

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    (Fermeture pour la conservation de l'arôme)

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     (Retour joyeux avec mon trésor pour les gagnants de la Freak Night)

     

    Vous savez ce qu'il vous reste à faire...

    Et surtout n'oubliez pas votre lampe frontale ! J'ai découvert lors des repérages combien les rues de Paris étaient peu éclairées la nuit... Bienvenue dans votre Koh Lanta urbain !

  • Comme un poisson dans l'eau

    Alors qu'il suffit à la plupart d'entre nous d'un geste pour obtenir instantanément de l'eau ou de la lumière, à Ambodiafontsy rien ne relève de cette évidence.

     

    Notamment pour la fourniture de l'eau.

     

    L'école n'étant pas raccordée au réseau d'eau de la JIRAMA, il faut à chaque élève apporter tous les jours dans une bouteille, l'eau nécessaire au brossage des dents institué aux deux récréations par Pokanel. L'eau consommée pour l'hygiène quotidienne et l'entretien de l'école est puisée à une pompe présente au bord de la piste qui traverse le village.

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    Cette pompe à eau appartenant à la JIRAMA, son robinet est cadenassé et il faut avant de pouvoir tirer de l'eau, aller quérir dans le village le responsable de la pompe (avec de la chance, on le trouve dans la 1/2 heure) et lui payer 20 Ariary par seau d'eau tirée.

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    A la fin du mois, cette facture d'eau est répartie entre chaque écolier, augmentant ainsi les frais d'écolage mensuels que la majorité des familles a déjà bien du mal à payer (l'écolage représentant par enfant 4% d'un SMIC malgache, salaire que beaucoup n'atteignent pas). 

    Pour remédier à cette situation aussi coûteuse que peu pratique, Pokanel va construire un puits à l'entrée de la cour d'école.  Ce 22 septembre, j'avais rendez-vous sur place pour une réunion de chantier entre l'entrepreneur, son aide, la directrice de l'école et moi-même.

    Réunion de chantier sans paperboard mais avec une surface d'écriture illimitée...

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    Echanges, réflexion, divergences, la réunion s'éternise mais est au final constructive. Les travaux à Madagascar se faisant généralement sans l'ombre d'un cahier des charges, patience et négociations doivent faire bon ménage...

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    Surtout quand Mahery et ses copains s'invitent au milieu de la réunion...

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    Les travaux du puits débuteront le 5 octobre prochain et seront terminés pour le 31 octobre (avant le début de la saison de pluie).

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    Le projet sera financé par les inscriptions de 15 euros à la Freak Night qui se déroulera le 31 octobre dans Paris. 

    Vous pourrez donc fêter dignement cette soirée de chasse aux trésors nocturne de Pokanel dans Paris. Votre motivation à évoluer -comme des poissons dans l'eau- dans Paris, et à vous désaltérer cette nuit-là permettra aux enfants d'Ambodiafontsy d'en faire autant !

  • Live from Tana

    En plein coeur d'Antananarivo ce soir, l'éclairage de la ville rappelle combien l'éléctricité est un bien essentiel, utilisée avec parcimonie pour ne pas gâcher les réserves fragiles de la JIRAMA (l'EDF malgache). 
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    Arrivée de bonne heure à l'aéroport d'Ivato, la réalité d'un "constat d'irrégularité bagage" est que mon sac de 17kg a disparu entre Paris et Tana sans que personne ne puisse m'expliquer ce mystère... Zen, restons zen...
    bagage.JPGDemain est un autre jour, on va dire ça et espérer une bonne nouvelle quant à mon sac égaré. Ce soir, dégustation réparatrice de papaye...
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    sous les parasols malgaches, aujourd'hui répandus dans le monde entier...
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    Un peu de préparation avant la distribution de 2,5 tonnes de riz vendredi à Ampitatafika...
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    Et les repérages demain matin à Ambodiafontsy des emplacements de nos futures pompes à eau...
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    A demain en photos !

  • Tonga soa !

    « Tonga Soa ! »

     

    Voici le mot privilégié par les Malgaches pour accueillir les visiteurs qui découvrent cette grande île de l'océan indien séparée de l'Afrique par le canal du Mozambique.


    Caractérisé aux yeux étrangers par la longueur de ses mots, le malgache appartient à la famille des langues austronésiennes, qui regroupe également l'indonésien et le polynésien. L'alphabet malgache compte 21 lettres : les consonnes "c", "q", "w" et "x", ainsi que la voyelle "u", n'apparaissent pas.

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    L'accent tonique est essentiel en malgache. Un accent mal placé... et vous risquez de modifier le sens des mots. En règle générale, l'accent tonique est sur l'avant-dernière syllabe.

     

    Par exemple maloto, le lo s'entend plus fortement que le ma et le to.

     

    Mais si le mot se termine par ka ou tra ou na, l'accent est sur l'antépénultième syllabe. Par exemple masaka, l'accent est sur ma. Là je sens que vous adorez...

     

    Les voyelles a, i, y : se prononcent comme en français, mais à la fin d'un mot elles sont souvent à moitié muettes et ressemblent à peu de chose près à l'e muet français.

    La voyelle o se prononce ou sauf dans les mots d'origine française.

    La voyelle e se prononce é quelle que soit sa place. C'est la seule voyelle qui ne peut jamais être muette.

    Quand deux voyelles sont voisines, la deuxième s'entend toujours plus faiblement que le première, à moins qu'il ne s'agisse d'un e. Là, vous adorez encore un peu plus...

    La consonne g se prononce comme dans gare.

    Le j se prononce dz.

    s est un son intermédiaire entre l's dur et le ch.

     

    Ces règles de prononciation peuvent aboutir à des résultats surprenants : le mot « nosy » par exemple, qui signifie « île », se prononce ainsi « nouss ».

     

    Maintenant vous connaissez tout des règles de base, vive la pratique !

  • Toxic B.A

    Samedi après-midi, Pete Doherty (notre toxic addict préféré) et moi vous attendions au Verre Luisant pour la collecte de médicaments destinée au dispensaire d'Ambodiafontsy à Madagascar.

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    Chacun est venu apporter sa pierre à l'édifice en déposant son sac de médicaments (et même de très loin comme Pauline et Florine, transfuges picardes !), ce fut aussi l'occasion de faire de jolies rencontres autour d'un verre et de pectos malgaches.

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    Et preuve s'il le fallait que les petits ruisseaux font toujours de grandes rivières, 18 kilos de médicaments seront acheminés grâce à vous à Madagascar le 20 septembre.

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    Les médicaments étant la dépense la plus coûteuse pour Pokanel, les économies ainsi faites nous permettront d'acheter une tonne de riz supplémentaire, en plus des trois tonnes déjà prévues à être distribuées le 25 septembre aux villageois d'Ambodiafontsy et d'Ampitatafika.

    Mille mercis à vous tous qui avez pris le temps de trier vos médicaments et de passer nous les offrir samedi ou de nous les envoyer, objectif Toxic B.A atteint ! 

  • In bed with Rousseau

    Dans les villages malgaches, il n'y a pas foule d'activités le soir, faute d'électricité, de connexion, de routes, etc... En résumé, vous avez tout le temps de lire à la bougie à la tombée de la nuit, dès 18h. Genre les 5 tomes des Oeuvres Complètes de Jean-Jacques Rousseau. 

    Jean-Jacques qui écrivit à son époque :

    "Il importe de s’accoutumer d’abord à être mal couché ; c’est le moyen de ne plus trouver de mauvais lit. En général, la vie dure, une fois tournée en habitude, multiplie les sensations agréables ; la vie molle en prépare une infinité de déplaisantes. Les gens élevés trop délicatement ne trouvent plus le sommeil que sur le duvet ; les gens accoutumés à dormir sur des planches le trouvent partout : il n’y a point de lit dur pour qui s’endort en se couchant."

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    Ce soir, je teste le lit recommandé par Jean-Jacques... et profiterai de ses futurs bienfaits !