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Pokanel - Page 5

  • Nos bibliothèques

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    Après nos bibliothèques « Grenadelle » et « Maki » construites et inaugurées pour les 3-6 ans à Antananarivo en mars, la troisième bibliothèque de Pokanel, « Baobab », le sera en décembre ! 
    La quatrième, « Mimosa », est déjà en cours de constitution, si comme Léna vous souhaitez y prendre part, profitez du temps pluvieux pour trier vos livres en bon état et faites-en profiter d’autres enfants...
    Notre première bibliothèque pour les 7-11 ans à Antananarivo sera également construite et inaugurée en décembre, n'hésitez pas à nous envoyer ou déposer vos livres en bon état à Pokanel 109 Rue du Bac 75007 Paris, merci pour les enfants qui en seront ravis !

  • Vos futures lectures...

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    C’est l’automne, vive les chocolats chauds et le cocooning ! 
    Vous allez pouvoir vous faire plaisir et prendre le temps de lire grâce aux Editions Le Livre de Poche qui vous offrent 25 polars et thrillers ! Il vous suffit d'être les meilleurs de La Mullet Race pour les gagner ! 
    Chaque balise retrouvée = 1 livre gagné  
    L’équipe qui aura marqué le plus de points samedi soir remportera 4 livres supplémentaires !
    Mille mercis à Béatrice Duval directrice des Editions Le Livre de Poche de son soutien indéfectible à Pokanel à Paris, autant qu’à Antananarivo au sein de notre cantine !

  • Notre cantine

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    Pareil ! 

    Petite remarque très judicieuse de Chrys ce matin : communiquer sur le fait que vous pouvez offrir 10 centimes pour 1 repas servi à un enfant dans notre cantine à Madagascar et le faire sur Paypal SANS avoir de compte Paypal, juste en utilisant votre CB.
    Si vous en êtes, c’est simple comme une pièce de 10 centimes, en tout cas pas plus compliqué...
    https://paypal.me/pools/c/8ayagzDSSq

  • Nomena

    Nomena1.jpgJ’ai rencontré Nomena à l’hôpital Befelatanana à Antananarivo, ce jour-là était compliqué pour lui et ses 8 ans. Pour sa maman aussi qui redoutait l’issue de sa chirurgie thoracique du lendemain, la malnutrition de Nomena faisait craindre de graves complications. J’avais promis que Pokanel les soutiendrait, notamment par la fourniture des kilos de riz nécessaires à ce que Nomena reprenne des forces et aille mieux. On avait parlé tous les trois, puis tous les deux, Nomena avait peur de devoir rester seul pendant l’intervention, il aurait voulu que sa maman soit présente. Je lui avais expliqué pourquoi ça n’était pas possible mais que tout se passerait bien et qu’à son réveil, elle serait là. Des larmes d’angoisse étaient arrivées. Quand je me suis souvenue tout à coup d’un « règlement spécial » autorisant la présence d’écureuil accompagnateur en salle d’opération à condition qu’il soit d’une propreté irréprochable et silencieux durant toute l’intervention pour ne pas gêner le chirurgien.

    J’ai alors donné à Nomena un des écureuils en peluche offerts avant mon départ par Sonia et sa société, déjà parfaitement propre puisque tout neuf, mais le règlement c’est le règlement et nous voilà partis à laver cette peluche, complice impeccable pour l’occasion. Tout s’est bien passé...


    Quatre mois plus tard, dans la cour de l’école où nous déchargions les matériaux de construction pour les bibliothèques de Pokanel, j’ai entendu une petite voix derrière moi qui disait « Est-ce que je peux vous aider, madame Nathalie ? S’il vous plaît ? », c’était Nomena. Avec son immense sourire. Et sa gentillesse encore plus immense.

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    Tout ça pour vous dire -en passant- à quoi servent concrètement les tonnes de riz que nous achetons et distribuons chaque année grâce à votre participation à nos événementiels, 1 kilo de riz malgache de qualité nous coûte 50cts d’€, ça sert à donner de l’oxygène dans les moments critiques, pour vous dire aussi que c’est possible, que la somme de nos forces fait une vraie différence, que les histoires peuvent être changées, il ne s’agit pas de les réécrire, de les théoriser, d’en faire des sujets de thèses ou de conférences, il s’agit quand même pour l’essentiel de se remonter les manches et de faire face aux problèmes pour les régler. Pas d’un claquement de doigts, mais l’un après l’autre, sans rien lâcher. Comme Nomena, 8 ans, avoir envie d’apporter concrètement sa pierre à l’édifice. 
    Merci du fond du coeur, à chacun(e), pour ce que vous décidez d’apporter de positif et de concret au long fleuve pas tranquille de la vie de Pokanel et de ses projets à Mada.

  • La folle aventure de La Mullet Race

    BRAVO et MERCI à chacun(e) d’entre vous d’avoir osé l’aventure de prendre le départ de cette course au trésor inédite ! Vous avez été formidables de motivation, d’ingéniosité et de persévérance dans la résolution des énigmes comme dans la recherche des balises !!

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    Grâce à vous, nous servirons 3200 repas gratuits aux enfants malnutris dans notre cantine à Madagascar, merci beaucoup ! 

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    Reposez-vous bien jusqu’au prochain défi et à très vite ! 

    NB : les solutions des dernières énigmes arrivent dans vos boîtes mail.
    Chaque gagnant d’une balise remporte cette balise design, 2 livres offerts par Le Livre de Poche, 1 boîte de thé bio malgache et un bon de 300€ sur son team building entreprise offert par MyInside Event. Je me rapproche de tous les gagnants ce week-end :)

  • Faiseurs de miracles

    Merci beaucoup Emmanuelle pour la jolie surprise et ton beau geste pour les enfants ! 

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    Si comme Manou, vous ne pouvez pas participer à « La Mullet Race » -notre course au trésor qui débute vendredi soir- mais que les repas servis aux enfants malnutris dans notre cantine à Madagascar vous tiennent à coeur, merci infiniment de votre aide via la cagnotte paypal de la cantine ou par chèque à Pokanel 109 rue du Bac 75007 Paris. 
    Chaque pièce de 10cts permet à un enfant de déjeuner, chacune a donc toute son importance ! Je compte sur vous pour faire des miracles puisqu’à nous tous, c’est POSSIBLE d’en faire ! 
    https://paypal.me/pools/c/8ayagzDSSq

  • Martine à la bibliothèque

    Soirée à thème ! 

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    Si vous souhaitez participer à notre première bibliothèque pour les 7-11 ans à Antananarivo, n'hésitez pas à nous envoyer ou déposer vos livres en bon état à Pokanel 109 Rue du Bac 75007 Paris, merci pour les enfants qui en seront ravis ! 

  • Just do it

    « Comment tu fais ? » (pour financer les actions de Pokanel à Madagascar) est la question que j’entends sans doute le plus fréquemment. 
    Ma réponse est : je fais.
    Je réfléchis, je cherche une idée et ensuite je la concrétise. Je fais, sans m’arrêter en route, jusqu’à ce qu’elle se matérialise. Qu’elle existe. Ailleurs que dans mon cerveau. 
    Donc pour que les enfants mangent à la cantine de Pokanel, j’ai coupé 9 morceaux de bois, je les ai numérotés et peints, je suis allée voir la directrice des Editions Le Livre de Poche, qui m’a tout de suite dit d’accord et a étalé sur son bureau 20 livres à vous offrir, clic j’ai pris la photo, j’ai cherché 9 cachettes dans tout Paris pour y cacher les 9 balises en bois, j’ai écrit 9 énigmes pour les retrouver, Pierre les teste l’une après l’autre, Nivo a créé un formulaire en ligne pour que vous puissiez vous inscrire simplement et en 10 secondes puis paypaler 5€ sur la cagnotte de la cantine. Grâce à ces 5€, 50 enfants mangeront. 
    Je fais. C’est à vous d’entrer en piste et de faire. Si vous en avez l’envie. 
    Venez vous amuser à La Mullet Race à partir du 13 septembre, à distance ou à Paris, en solo ou en équipe, entre amis ou avec des gens que vous ne connaissez pas encore, avec vos enfants ou sans, vous FAITES exactement ce que vous voulez !

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  • Notre 4ème bibliothèque...

    Quand Nicolas et Valentin profitent des vacances pour trier leurs beaux livres et les offrent à la 4ème bibliothèque de Pokanel pour les 3-6 ans à Madagascar...
    Merci beaucoup, les enfants ! 

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  • La beauté du geste

    (Durée de lecture estimée à moins d’´1’30, gain pour l’humanité inestimable, allez-y).

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    Je regarde les beaux gilets de bébés qui sont sur mon bureau cet après-midi et je suis profondément touchée par le geste de Daniele, généreuse arrière grand-mère qui m’a fait la surprise de tricoter avec talent de très jolis vêtements pour les bébés hospitalisés dans le service pédiatrique le plus démuni d’Antananarivo (et sûrement au triste palmarès des plus pauvres au monde aussi). 
    Sur les hauts plateaux malgaches, la température peut chuter de 20 à 25 degrés dès que le soleil se couche à 18h et les petits sont souvent transis de froid.
    Donc, ces gilets chauds, en laine, sont... précieux. Je cherchais le mot mais c’est bien plus encore. 
    Daniele les a tricotés expressément pour ces petits, elle les a sûrement imaginés et vus portés en alignant toutes ses mailles une à une. C’est ce qui me touche le plus, ce supplément d’âme de Daniele glissé entre les mailles de laine. Les petits bénéficiaires seront trop petits pour parler mais je sais que leurs parents auront les yeux pleins de larmes de gratitude et de joie.
    Les mêmes que les enfants à chaque rentrée scolaire lorsque nous redistribuons les stylos offerts à Pokanel par le centre de production BIC. Les enfants de 11ème expriment toujours cette stupeur devant les stylos, « Mais ils sont... neufs ?? ». Intérieurement cette question me fend le cœur, à voix haute je réponds « Oui, ils sont neufs. Il faut qu’ils soient neufs pour que tu aies l’encre nécessaire pour écrire et bien travailler toute l’année ». 
    La réalité est que ces enfants subissent encore et encore la double, triple, quadruple peine de la pauvreté financière, directement quand il s’agit par exemple de ne pas pouvoir aller à l’école parce que leur famille n’ont pas les moyens de payer l’écolage (frais d’inscription mensuels, même de quelques centimes), mais aussi insidieusement et de manière récurrente quand il s’agit de recevoir quelque chose qui n’est jamais neuf, qui à l’origine n’était jamais pour eux. Sous-entendu, « c’est mieux que rien pour toi qui n’a rien », c’était petite violence-là, répétitive, visant toujours le même endroit de fierté du cœur, est pour moi un boulet au pied de chacun de ces enfants. 
    J’ai entendu et je continuerai d’entendre des centaines de fois « mes 4 enfants l’ont usé mais ça pourra bien leur servir, non ? », « j’allais le jeter, je te le donne », etc, je m’efforce de ne rien y voir de plus que de l’inattention, en revanche je veux absolument que les enfants ressentent notre attention, la mienne et celle du reste de l’équipe, que le don compte pour sa nature mais aussi pour la fierté qu’il insuffle. J’assume contre l’avis assez général qu’il faut être exigeant, qu’il faut transmettre aux enfants le goût des bonnes et belles choses, à Madagascar comme ailleurs, que ce ne sont pas des « enfants pauvres », ce sont des enfants avec une sensibilité d’enfant, et que cette sensibilité doit être guidée vers des valeurs positives et pas malmenée parce que nous, adultes, aurions estimé « que c’est assez bien pour eux » par la convergence d’un tas de données et d’expertises dont on aurait le secret...

    Merci infiniment à Daniele.