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  • Pour la semaine de 5 jours...

    Quelqu'un me demandait ce week-end si la nature des événementiels de Pokanel (rallyes, soirées, team-building,...) qui est volontairement festive, me semblait toujours en adéquation avec la pauvreté et les souffrances que Pokanel essaie modestement de soulager à Madagascar ?

     

    Oui, parfois on me pose des questions sérieuses auxquelles je me dois de trouver des réponses d'une pertinence fulgurante... (Songez désormais comme la fonction humanitaire de Lady Di n'était pas facile tous les jours...). 

    pokanel,madagascar

    Dans le cas présent, c'est bien un parti pris de vouloir vous divertir et de rendre les choses légères, persuadés que de vous faire pleurer ne rendrait pas votre adhésion à nos projets plus... vive.

     

    Cela ne change rien au fait que nous savons pourquoi on le fait, qu'on assume complètement le grand écart supposé et que nous avons toujours à l'esprit la réalité des problèmes qui nous occupent. Mais on le fait avec le sourire, pour vous, et honnêtement aussi pour nous, parce que spontanément cette bonne humeur nous correspond. 

     

    Quant à LA question, je crois qu'on ne se la pose pas au-delà de la limite que l'on s'est fixée : le respect et la dignité des personnes que l'on aide. 

     

    Le résultat de votre joyeuse et future participation à la prochaine Toxic Party (soirée Blind test) du 7 décembre prochain par exemple, aboutira entre autres à la distribution de plusieurs tonnes de riz, soulagera la pénurie de médicaments aux dispensaires, comme ça a pu être le cas lors de la précédente édition...

     

    Flash back sur vos prouesses :

     

    En pleine organisation de l'opération RIZ, je découvre à la Une du journal ce matin la nième augmentation du prix du riz dans cette crise économique et politique qui n'en finit plus de rendre Madagascar exsangue. 

    pokanel,madagascar

    100 Ariary de plus, c'est +10% sur le prix du kilo de riz, cela porte aussi à 2% d'un SMIC malgache l'achat d'un kilo de riz...

     

    L'urgence se fait plus pressante encore que d'ordinaire, la faim fait des ravages chez les enfants déjà malnutris, et ma négociation ce matin chez le distributeur de riz d'Ampitatafika fut tendue.

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    Après avoir acheté les 5 tonnes de vary gasy (riz rouge sur la photo) nécessaires à la distribution de vendredi, je me rends à Ambodiafontsy pour les travaux de construction de notre futur puits.

     

    Sur la piste de l'école, je suis arrêtée par une villageoise accompagnée de son enfant.

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    La dame tente un sourire et me demande en malgache si j'ai quelque chose "à manger". Pas d'argent mais quelque chose à manger. Je n'ai rien sur moi mais lui explique que vendredi matin je pourrai au même endroit lui remettre 2kg de riz.

    Pendant que je parle à sa mère, je vois le petit garçon tordre continuellement ses doigts devant lui.

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    En me baissant pour lui parler, je découvre ses yeux cernés de fatigue et à demi clos. Il me souffle timidement "marary kibo aho" (j'ai mal au ventre) en s'accrochant à sa chemise, découvrant le début d'un ventre déformé par la malnutrition.

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    Une nouvelle fois, je rassure la dame qui s'inquiète de ne pas avoir à manger. Le riz. Au même endroit. Vendredi.

     

    "Aiza ny vary azafady ?" Où est le riz, s'il vous plaît ?

     

    Nouvelle explication. On est mercredi, le riz sera là vendredi. Dans deux jours. Je lui donnerai devant l'école. Je promets. Vendredi.

     

    "Ilay rahariva ?" Ce soir ?

     

    Vendredi. Pas aujourd'hui. Vendredi. 2 jours... Mais que font-ils encore là ces 2 jours ?!?

     

    Décidons d'abolir les mercredi et jeudi. Bien trop longs.

     

    Le propos du post d'aujourd'hui n'est pas de vous attendrir avec le début d'un ventre affamé. 

    Seulement vous dire que toutes ces aventures joyeuses dans Paris ou sur la toile, chaque fois que vous nous suivez avec bonne humeur et simplicité...

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     ... servent à rapprocher le vendredi du début de la semaine pour des centaines de personnes qui n'en peuvent plus de compter les jours. Dans notre lutte pour "la semaine de 5 jours", il y a votre bonne humeur. Définitivement.

  • Ceux qui partagent le même riz...

    A Madagascar, 75% de la population vivent en dessous du seuil de pauvreté.

     

    3 personnes sur 4.

     

    Pas cette pauvreté qui vous oblige à compter le moindre euro, vous prive de loisirs, de sorties, d’insouciance dès le 10 du mois. Un « seuil de  pauvreté » dont le mot adoucit encore la réalité de la situation : travailler dur pour espérer acheter le riz nécessaire aux repas du lendemain. Une autre façon de « vivre au jour le jour ».

     

    Il serait plus "juste" de dire que les ¾  de la population à Madagascar vivent en dessous du « seuil de la faim », sans même envisager de se loger, de scolariser ses enfants ou de payer un médecin.

     

    Un des paradoxes de Madagascar est d’exporter en quantité un riz de grande qualité et d’importer pour subvenir aux besoins de la population entre 150 000 à 200 000 tonnes de riz par an, essentiellement de la brisure de riz, bien moins chère que le riz en grains.

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    Le riz assurant 90% des besoins caloriques des Malgaches, Pokanel en achète plusieurs dizaines de tonnes par an et le distribue régulièrement grâce aux bénéfices générés par notre événementiel organisé à Paris et sur le web.

     

    Anita gère les comptes au plus près, nos moyens ne sont pas infinis.

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    Nous avons choisi de ne plus avoir aucun intermédiaire (ni chef de Fokontany (l'équivalent du Maire), ni acheteur, ni transporteur,...) pour éviter de se faire voler des sacs de riz, ainsi que toute corruption ou tout business personnel indélicat dans le cadre de notre action. 

     

    Par conséquent, l'organisation logistique est longue, tout est à traiter de A à Z, mais avec le même budget, nous achetons 3 fois plus de riz...

     
    Cela commence par le choix et la négociation des denrées dont nous avons besoin (riz rouge, voanjobory, patates douces,...) auprès des producteurs.
     

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    Une fois que nos stocks sont constitués, nous passons dans les 3 jours à la remise des aliments aux bénéficaires.

     

    Nos premières distributions de riz nous ont imposé d'adapter très vite l'organisation de l'action qui paradoxalement dans sa dernière phase -espérée positive et souriante- devenait un événement compliqué, électrique et angoissant. 

     

    Il est en réalité très difficile de contenir une foule, dans le calme, quand le stress est palpable chez chacun qu'il n'y ait pas assez de riz pour tous et où le premier mouvement de foule peut faire déraper les choses, que quelqu'un soit blessé ou pire... Vouloir "bien faire" ne suffit pas et peut tourner au fiasco, sorti de la réalité d'un contexte.

     

    Au-delà du stress et des risques, nous n'étions pas non plus à l'aise à voir ces files d'attente sans fin avec les gens à la main tendue, dans une position que nous ressentions comme "dévalorisante".

     

    Autant que faire se peut, nous sommes attentifs à faire que tout se passe dans la dignité et avec gentillesse, pouvoir prendre le temps de dire un petit mot d'encouragement, d'échanger un regard, un sourire, en faire un moment d'échange et pas seulement de don.

     

    D'où la confection avant chaque distribution, de bons de riz que les bénéficiaires seront libres d'aller échanger au moment choisi par eux, en fonction de leurs besoins immédiats ou pas, à notre lieu de stockage.

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    Ces bons de 2kg de riz sont distribués aux écoliers dans le cadre de nos opérations d'éducation de l'hygiène, de remise de prix, de goûters, ainsi qu'aux familles démunies dont les enfants ne sont pas scolarisés des cantons d'Ampitatafika, d'Ambodiafontsy et des villages environnants. 
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    Nous avons la sensation  d'avoir maintenant trouvé la formule qui convienne à tous (nous y compris) et d'être parvenus à donner vie à un proverbe malgache que nous aimons particulièrement au sein de l'équipe de Pokanel... "Izay iray vatsy, iray aina" pouvant s'interpréter comme "Ceux qui partagent le même riz sont unis dans la vie"

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    MERCI à chacun d'entre vous, participants enthousiastes à nos événements ! C'est vous qui rendez ce partage possible. 

    Izay iray vatsy, iray aina, le même riz, la même vie...

  • Royaux !

    Ce jour-là à Antananarivo, Pokanel organisait une opération sanitaire et la distribution de 1000 savons dans un des quartiers les plus pauvres de la capitale...

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    Face à la propagation des microbes, la contagion et les infections, le savon est le premier des médicaments... Nous répétons donc les démonstrations, les distributions et on frotte tous joyeusement !

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    Les enfants sont attentifs à l'apprentissage de l'hygiène quotidienne...

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    Dans l'après-midi, je vois s'avancer face à moi un enfant dont je ne sais dire s'il s'agit d'une petite fille ou d'un petit garçon, avec un regard fixe et un visage impassible qui tranche avec l'excitation joyeuse des autres petits.
    Je lui demande son prénom et quelqu'un à côté de moi répond "les mots ne sortent jamais de sa bouche"...

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    Je m'approche un peu plus, je lui dis mon prénom et je lui redemande le sien... Elle me répond "Fifaliana" toujours avec ce regard intense mais absent à la fois. J'entends l'étonnement des mamans qui nous entourent au son de la voix de la petite fille, et Fifaliana semble à présent tenir aussi fort à son prénom qu'au savon que je viens de lui donner.


    Fifaliana soutient mon regard et l'emmène vers le sol comme pour être sûre que dans la foule enthousiaste et pressée, je ne rate pas ce qu'elle veut me montrer...

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    La prison de Fifaliana n'est pas le silence mais la déformation de ses deux pieds.


    Née avec deux pieds-bots, Fifaliana subit une double peine, puisqu'elle n'est ni soignée faute de moyens, ni scolarisée faute de pouvoir parcourir à pied la distance jusqu'à l'école.

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    J'interromps la distribution et demande à voir les parents de la petite, s'ils sont présents ?
    La maman s'approche visiblement intimidée, craignant qu'il y ait un problème pour avoir le savon espéré.

     

    Fifaliana a 7 ans, a été opérée en 2009 pour pratiquer l'inversion de l'orientation de ses pieds. Ensuite elle devait porter des chaussures orthopédiques confectionnées après devis et paiement au centre d'appareillage de Mahamasina.
    Bien. Pourquoi Fifaliana ne les porte pas aujourd'hui ? "Elles n'ont jamais été faite, c'était 250 000 fmg et on n'avait pas l'argent..."

    250 000 fmg, moins de 20 euros, le prix d'une pizza, d'un DVD ou d'un billet qu'on défait sans trop y penser, le prix pour marcher à Madagascar.

     

    Anita qui gère les finances de Pokanel, me rappelle parfois -à juste titre- "ne dépense pas l'argent qu'on n'a pas". Il se trouve que, face à Fifaliana, j'ai sur moi en Ariary l'équivalent de 30€ et mon téléphone portable.

    Grâce aux deux, Fifaliana a rendez-vous le lendemain au centre d'appareillage de Befelatanana, ses chaussures sont pré-payées et seront livrées très vite. Il n'y a pas de miracle, Fifaliana n'est pas au bout de ses peines et après un temps de reprise de la marche avec ses chaussures, elle devra subir une nouvelle opération et une réeducation de plusieurs mois.
    En tout cas, elle marchera puis sera scolarisée en CP à l'école FJKM de Larobia grâce à une bourse de Pokanel. De quoi changer son futur et lui redonner le sourire.

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    Fifaliana ignore alors qu'elle vient de lancer le Color Block Day, événement qui financera son opération chirurgicale. Plus qu'à convaincre de joyeux drilles de venir marcher dans Paris pour soutenir ses futurs pas à Madagascar !

     

    Elizabeth, pourtant en plein jubilé, est la première à s'engager... 

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    Et pas la dernière à encourager les Color Block People le jour J !

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    Parce que oui, le jour J, vous êtiez bien au rendez-vous de la bonne humeur généreuse et de la triche éhontée ! Prêts à l'exploit et hauts en couleurs !

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    Un bel esprit d'équipe a soufflé tout au long de la journée pour résoudre les énigmes et relever les défis proposés par Pokanel...

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    Vous avez entrepris de faire votre marché en malgache...

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    Catherine, brillamment coachée par Fanja, prépare ici sa liste de courses de fruits et légumes malgaches...

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    Alors que Virginie obtient sans problème les objets de sa quête auprès d'Anita...

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    Peu importe les erreurs de parcours et les détours, l'enthousiasme est roi dans les rues de Paris !

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    Les indices se succèdent...

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    Jusqu'à la ligne d'arrivée !

     

    Après une tombola aux parfums de vanille de Madagascar, l'équipe des Marco Polette remporte cette édition du rallye de Pokanel dans un mouchoir de poche avec les 3 équipes suivantes !

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    BRAVO aux 10 équipes inscrites au Color Block Day ! Elizabeth peut en prendre de la graine, vous avez été ROYAUX !

    Un grand merci à tous de votre engagement, de votre soutien à Fifaliana, et aussi d'être toujours prêts à vous lever un samedi matin pour écrire les plus jolies pages de Pokanel !

     

    Rendez-vous à Paris cet automne pour de nouvelles aventures, nocturnes cette fois ! 

  • Voyage & frissons !

    Aujourd'hui, nous vous proposons un lointain voyage ET des frissons...

    Après le succès de son opus "Le koala tueur", Kenneth Cook revient avec "La Vengeance du wombat et autres histoires du bush".

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    "Wombats sur ma gauche, wombats sur ma droite : tous piétinaient et grognaient. Planté parmi eux au clair de lune, immense, le corps flasque et hardi, le filet dans une main, la seringue dans l'autre, j'attendais le wombat qui m'intéressait. [...] Avec l'aisance du geste entraîné, je lui lançai le filet sur le corps. Il le déchiqueta en moins de deux secondes. [...]Comment étais-je censé m'y prendre à partir de là ?"

     

    Une rencontre dans un bar, quelques bières fraîches, et voilà Kenneth Cook, écrivain d'âge mûr « en léger surpoids », embarqué dans d'incroyables aventures où la faune humaine et animale du bush joue le premier rôle. Kangourou suicidaire, koalas explosifs, wombats vindicatifs, aborigènes roublards finissent toujours par contrarier son penchant naturel pour le confort. Heureusement, car Cook en tire une brassée d'histoires plus vraies que nature, racontées avec un art consommé du gag. Une lecture jubilatoire !

     

    C’est Julien, livrophage chez Pokanel qui a testé pour vous «La vengeance du wombat» et qui l’a aimé ! Situations désopilantes au cœur du bush australien, laissez-vous embarquer par la folie douce de Kenneth Cook !    

     

    Le second livre à vous faire découvrir est un polar plein de frissons ! "La lune était noire" de Michael Connely tient toutes les promesses du genre...

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    Cassie Black, la trentaine, un passé douloureux, a connu la prison, à cause d’un casse qui a mal tourné. Alors qu’elle est en liberté conditionnelle, on lui propose de voler une mallette bourrée d’argent dans la suite d’un casino de Las Vegas, le Cleopatra. Un endroit hyper-sécurisé, truffé de caméras et de gardes armés. Le coup n’est pas sans risque mais Cassie, qui ignore la réelle importance de l’enjeu, décide de le tenter. Mais elle ne sait pas que les dés sont pipés…

     

    "La lune était noire" est le premier roman de Connelly que je lis et c’est un polar que j’ai trouvé excellent. 

     

    On découvre en suivant Cassie Black, le monde des casinos de Las Vegas, côté truands à la Ocean Eleven. Je me sens prête à faire mon premier « coup » avec tout ce que j’ai appris grâce à Cassie, en revanche pas aux Etats-Unis… maintenant que j’en sais autant sur les rouages des tribunaux américains et ma future libération sur parole...

     

    Les Editions Le Livre de Poche vous offrent aujourd'hui l'occasion de gagner ces deux très bons livres en étant le premier à résoudre l'énigme suivante, merci d'argumenter votre réponse dans les commentaires...

     

    "Elle s'est battue, foulant sa terre, 

    Pour la fierté de ses ancêtres, 

    Allumant le feu de la fraternité, 

    Pour la reconnaissance d'un peuple opprimé"

      

    De qui s'agit-il ?

     

    A vous de jouer ! 

  • Que chaque jour...

    compte.

    Que chaque jour porte l'empreinte d'un plaisir, d'un espoir, d'une envie, d'une gourmandise, d'un sourire...
    Que chaque jour porte la trace d'un partage... de connaissances, de rêves, de rires, de solutions, de folie douce...

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    Pokanel, comme les enfants d'Ambodiafontsy, construit patiemment et dans la bonne humeur. Il y a maintenant de l'eau, du riz, des soins, des cours. Et aussi des fleurs, des jeux, des goûters sucrés et colorés. Grâce à vous et à votre enthousiasme à participer aux événements finançant nos projets à Madagascar.

    Alors on ne vous embarque pas seulement pour la WebRoad qui arrive, on vous garde pour toute l'année !

    Année que nous vous souhaitons EXTRAORDINAIRE, pas moins ! :)

  • Qui sommes-nous ?

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    Pokanel est une ONG à but non lucratif, créée le 26 avril 2004 par Nathalie Tanguy et Anita Rakotondrabe.

     

     

    Elle a pour but de développer des projets éducatifs et sanitaires à Madagascar. Chaque année, nous assurons les soins médicaux gratuits de 30000 patients en situation précaire, la scolarisation, la prévention et les soins dentaires de 5000 enfants, la distribution de plusieurs tonnes de riz et de lait en faveur des enfants en bas âge souffrant de malnutrition, le forage de puits à eau dans les villages isolés des hauts plateaux malgaches...

    Pour financer nos programmes, nous organisons tout au long de l'année de l'événementiel culturel et festif à Paris, ainsi que sur le web, fidèles à notre devise "Enjoy to help !"

    Notre fonctionnement diffère volontairement de ce qui peut se faire de façon plus classique dans une association humanitaire : nos événements sont ouverts aux particuliers ainsi qu'aux entreprises, nous n'avons que des membres fondateurs, aucun adhérent/cotisant, nous ne faisons jamais appel aux dons d'argent et 100% des droits d'entrée à nos événements financent nos actions à Madagascar.

    Cela est rendu possible d'abord par le statut bénévole de chacun des membres de l'équipe de Pokanel mais aussi par le développement actif d'un réseau de fidèles partenaires, pharmaceutiques d'abord (pour les laboratoires et pharmacies offrant les médicaments essentiels aux traitements des patients des dispensaires) mais aussi de maisons et marques (éditeurs, cosmétiques, compagnie aérienne…) qui récompensent les gagnants de chacun de nos événements. Qu'ils en soient chaleureusement remerciés, ainsi que tous ceux qui nous rejoignent avec enthousiasme et bonne humeur en venant vivre nos événements, le temps d'une journée ou d'une soirée ! 

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  • Hit the WebRoad !

    Il était une fois... VOUS

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    Enthousiaste. Et toujours en quête de folie douce... 

     

    C'est simple : vous êtes notre super héros.

      

    Aujourd'hui, branle-bas de combat chez Pokanel ! Une dépêche de l'AFP vient de tomber : 

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    "Un ouragan vient de disséminer vingt-cinq émeraudes malgaches aux quatre coins du globe". 

     

    Votre nouvelle mission est de les retrouver par tous les moyens

     

    Qu'elles soient au sommet de l'Annapurna...

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    Ou par 3000 mètres de fond...

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    Votre sac doit être prêt pour le 16 janvier. Vous recevrez alors via le web, une énigme vous permettant de découvrir votre première destination et de vivre à l'heure de ce pays pendant 24h, à travers son histoire, sa culture artistique, gastronomique, geek, mode,... et bien sûr de retrouver les 5 lieux où se cachent les émeraudes, en résolvant les 5 énigmes de votre road-book téléchargé du jour !

     

    Votre périple à travers le monde s'achèvera le 21 janvier après avoir parcouru un pays par jour et avec dans votre sac les 25 émeraudes retrouvées. 
     
    Il ne vous reste qu'une chose à faire... Hit the WebRoad !

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    Préparez vos barres énergétiques, votre sac à dos pour la forêt amazonienne et les lingettes fraîcheur hypoallergéniques...
     

    Avant le départ, validez votre enregistrement en versant 10€ sur le compte Paypal de Pokanel : contact@pokanel.org, en spécifiant vos nom, prénom et mail. Vous serez alors automatiquement inscrit et recevrez les premières infos par mail ! 

     

    Chaque web-trotter s'inscrit individuellement mais rien ne vous empêche ensuite de faire route avec vos amis ou vos collègues de bureau inscrits, pour dénicher vos émeraudes ensemble !  

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    A quoi servira l'argent récolté grâce à votre WebRoad ? 

    A changer des vies. Donc à changer un peu le monde...

    Grâce à vous, Pokanel créera à Madagascar des programmes de soins des nouveaux-nés pour lutter contre la mortalité infantile dûe aux conditions difficiles d'accouchement et de suivi médical insuffisant des bébés.

     

    Mais pour ceux qui se diraient "Je m'inscris pas... Madagascar, c'est trop loin !", on a pris Monsieur Karim comme community manager...

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    Les inscriptions sont ouvertes à tous les internautes francophones où qu'ils se trouvent dans le monde, et bienvenue à la diaspora malgache qui regrette des USA ou du Canada que nos rallyes ne se passent habituellement qu'à Paris, cette fois vous pouvez en être ! 

     

    Les cadeaux aux vainqueurs seront somptueux... en or plein de carats et des barils de pétrole ! Non, sérieusement, c'est une surprise... parce qu'on aime bien ça, vous surprendre...

     

    Hit the WebRoad ! 

  • Les petits ruisseaux qui font...

    Les grandes rivières !

     

    Entre la Toxic party III, vos envois individuels et la collecte de Suzy dans le lycée où elle enseigne, nous avons récolté 67kg de médicaments...

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    Tout a été trié, reconditionné, emballé et 10 caisses de médicaments sont maintenant prêtes à partir...

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    Les patients du dispensaire vont pouvoir reçevoir gratuitement leurs soins et les médicaments.

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    Le Docteur Hanitra prescrit et donne directement aux patients les doses exactes nécessaires aux traitements. Pas besoin d'aller à la pharmacie et d'acheter les médicaments dont le coût rend inaccessible les soins pour la majorité de la population.

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    Merci à tous de vous être autant investis dans cette opération qui va soulager de nombreux maux !

  • La Funky Town, un très grand cru !

    L'édition 2011 du rallye Pokanel était placée sous le haut patronage de Pam... et on a bien fait de la choisir car elle a gardé le sourire du début jusqu'à la fin !

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    Anita, Hery et moi avons commencé à préparer la Funky Town au mois de février et 500h de travail plus tard, le 27 mai s'alignaient vos futurs road books prêts à être reliés !

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    Entre-temps, nous avons eu l'occasion d'apprendre mille choses, du métier de bourrelier aux recoins les plus insolites de Paris et fait 45 fois le tour des quartiers surtout en nocturne...

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    D'user 7 fluos...

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    Hery a eu une patience d'ange à découper et piqueter 300 billets de tombola, Anita a résisté à mes 100 mails aux intitulés bizarroïdes P2A²INEq8 sans craquer et checké que tout était en place... 

    Contenir mon perfectionnisme paranoïaque est un job à plein temps pour Anita en période de rallyes. 

    Du coup, la vie lui paraît tout de suite beaucoup plus simple à la fin de l'un d'entre eux...   

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    Après la résolution de l'énigme du lieu de rendez-vous ce samedi 28 mai, le départ de la Funky Town était donné devant l’église Saint Gervais pour 12 équipes toutes plus motivées les unes que les autres et incarnant les années 80.

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    Attention ! 12 équipes coachées par 12 leaders affûtés, prêts à tout et attentifs au moindre mot du briefing !

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    Le départ de la Funky Town pouvait ensuite sonner...

    Les Comics sont tout de suite en alerte, drivés de main de maître par Laetitia-Superwoman !

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    Les Rubik's Cubes toujours souriants et prêts à colorer Paris...

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    Les Marco Polettes Rock Stars avec Annie Lennox et Cindy Lauper concentrées...

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    Sur les dernières retouches maquillage de leurs coéquipières...

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    Manou, impitoyable coach de La Classe à Dallas est en intimidation stratégique sur Anne-Marie de la Punky B Family... 

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    Alors qu'au ranch, l'équipe selle les chevaux avec glamour...

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    Nawal, hyper organisée, a déjà sous le Stetson la photo des trésors imprimée à partir de Facebook...

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    Les 300, team aussi punchy que sympathique boostée par Laurent, sont aux couleurs des 30 ans du TGV et prêts à battre des records de vitesse dans Paris !

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    Les Bananaramas ouvrent le bal des épreuves, pros de la géographie malgache, c'est un sans-faute, bravo !

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    Lorsque j'enchaîne avec les Dalida's de Frida qui se révèlent être des experts du bilboquet, je commence à penser que cette Funky Town va être high level... 

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    Au milieu des Novices super sympas de Sindy, je pique mon premier fou rire de la journée...

    Kim, telle la voix qui crie dans le désert enchaîne les bonnes réponses sous l'oeil réprobateur de ses coéquipers genre "Kim, si tu crois qu'on a le temps de déconner..." et Kim d'être obligée de supplier... "mais si, je vous assure que c'est ça !", j'ai cru que Sindy allait lui dire "Ne jurez pas Marie-Thérèse, ne jurez pas !"

    Quand je me suis permise de glisser "vous devriez écouter Kim parce qu'elle a de bonnes idées", tout le monde s'est arrêté et a relevé la tête vers Kim... "Répète tout ce que t'as dit depuis tout à l'heure !"... Donne un peu de la voix, Kim... IMG_0897.JPG

    Chez les Decalcomaniacs, l'ambiance est à la fête ! Sont hyper connectés avec l'esprit de Bonnie Tyler qui les inspire sur 24 des 25 bonnes réponses !

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    Les Love Boat gèrent l'avancement sur le parcours et leurs pauses, la captain Tiana a choisi un coaching à base de rhum planteur, l'ambiance est au beau fixe sur le paquebot !... 

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    Les 300 font un pack solidaire autour de leur coach Laurent durant toutes les épreuves ; l'année prochaine, j'ajoute une épreuve rugby...

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    Visiblement tout le monde a fait de l'histoire de l'Art, sa passion du jour ! Ou bien merci Google... En tout cas, chacun fait un sans-faute sur les tableaux à découvrir de Gauguin, Vermeer, Rubens et De Vinci, bravo !

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    Côté énigmes, c'est tout aussi épatant ! A croire qu'il faille qu'on instaure un contrôle anti-dopage la prochaine fois... Les Epaulettes de la win, les Decalcomaniacs, les Marco Polettes et les 300, résolvent leurs 35 énigmes sans sourciller ! Les Rubik's cubes aussi mais ils préfèrent écrire des réponses fausses quand ils reportent leurs bonnes réponses à la fin du road book, c'est plus sport, je ne sais pas...

     

    Après avoir fait 6 kilomètres en théorie, mais souvent 8 à 10 en réalité grâce à votre créativité débordante, je vous ai trouvé encore bonne mine à la fin de la journée ! 

    A l'image de Fanny qui a encore l'énergie d'un cours d'aérobic...

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    Suzy et Pierre des Epaulettes de la win, aidés par Mélina des Marco Polettes étaient eux aussi encore pleins d'énergie après leur périple, pour mettre le feu à la tombola...

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    En plus de gagner de beaux cadeaux malgaches, les 300 euros de vos achats de billets de tombola vont contribuer à acheter le futur défibrillateur du dispensaire, ça c'est la funky classe ! 

     

    Après la tombola, vint l'heure d'annoncer le classement des équipes, prouesses et high level au rendez-vous comme je le pressentais en début de journée...

    Anita corrige à distance les parcours (et remercie particulièrement Laurette qui s'est tellement appliquée à écrire qu'on s'est demandé si c'était tapé sous word !) pendant que je corrige le reste, on fait nos totaux et algorithmes et on scelle les résultats avec Maître Moya bibi.

     

    Avec nos félicitations à tous pour vos efforts et votre bonne humeur tout au long de la journée ! (Je n'étais pas présente lorsque vous nous insultiez donc on considère que ça n'est pas arrivé...)

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    Dans l'ordre croissant des points (sur 1000), Les Novices (612), Love Boat (632), Punky B Family (664), La Classe à Dallas (814), Bananaramas (816), Dalida's (820), Comic's (854), Rubik's Cubes (896), Marco Polettes (914), Epaulettes de la win (924), les 300 (946) et... 

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    les Decalcomaniacs, grands vainqueurs, avec 958 points ! 

     

    Nous étions ravis de pouvoir vous offrir les cadeaux que nous avions rapportés pour vous de Madagascar, les baobabs en sisal, le chocolat noir, les coupe-papiers en bois de rose et les fleurs de sel au poivre ainsi qu'à la vanille.

     

    Merci à notre partenaire fidèle, les éditions Calmann-Lévy, qui ont gentiment offert aux vainqueurs La vie immortelle d'Henrietta Lacks de Rebecca Skloot, livre formidable et bouleversant d'humanité.

     

    Un grand merci à Roberte, Daniele et MaO qui ont eu la générosité, la gentillesse et la patience de réaliser et de broder les beaux sacs de Pokanel.

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    Toutes les trois ont eu le talent de transformer mon dessin en jolie réalité...  

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    Un grand merci aussi à Varda la magicienne, la vente des savons créés pour Pokanel va financer l'opération "ça mousse !" pour lutter contre le choléra à Madagascar. varda.JPG

    La suite de la Funky Town va s'écrire à Madagascar, sur notre coin de terre si précieux... Ambodiafontsy.jpg

    Grâce à vous tous, enthousiastes funky people, nous distribuerons votre riz, 3 tonnes, avant la prochaine saison des pluies... Les petits écoliers boursiers de Pokanel reprendront tous le chemin des classes à la rentrée de septembre, un nouveau puits à eau va être foré, le dispensaire mieux équipé, plein de choses positives dont vous aurez le compte-rendu de l'avancement sur le blog au fur et à mesure bien sûr.  

     

    Il est assez simple de calculer les bénéfices financiers d'un rallye et de vous présenter les actions concrètes qu'ils vont générer, du riz contre la faim, des médicaments contre les douleurs, des bourses pour étudier,... Tout cela est évidemment important, soulage, aide, guérit, allège...

     

    Mais l'essentiel est ailleurs. 

     

    A chaque nouvelle réalisation, au-delà de sa nature même, c'est surtout beaucoup d'élan et d'espoir insufflés, des champs de possibles ouverts tout à coup, des têtes qui se relèvent parce qu'elles avaient juste besoin qu'on leur fasse confiance, qu'on leur signifie non pas "comptez sur nous" mais "vous comptez pour nous". Anita, Hery, Annette, Nicole et moi ressentons une joie indicible face à ces épaules qui se redressent, ces sourires nouveaux porteurs de forces et de dignité.

     

    De la part des adultes comme chez les plus jeunes... 

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    A l'instar de cette discussion animée, pleine de joie et de tendresse avec les plus petits juste après l'inauguration du premier puits à eau, foré à Ambodiafontsy...


    "Plus tard, je voudrais conduire l'avion de Pokanel dans le ciel !"
    "Oui, tu pourras conduire un avion mais pas celui de Pokanel parce qu'on n'en a pas..."
    "Ah ? Mais on va le construire comme le puits !"...

    Make your dreams a reality...

     

    Alors merci bien sûr de votre participation à la Funky Town, merci aussi à Olivier comme à chacun d'entre vous de votre bel enthousiasme communicatif...

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    You rock !